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Commentaire de Luc-Laurent Salvador

sur Di Caprio et Hollande. Le loup de Wall Street et le chacal de l'Elysée


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Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 18 janvier 2014 07:08

@ Ariane,

Bravo, très beau texte parce qu’efficace dans la mesure où une orientation est donnée : celle de la mondialisation de l’amour, qui a heureusement une patience infinie...

@ Patrick Samba

Vous accusez Dieudonné comme on accuse la goutte d’eau de faire déborder le vase.
Vous n’avez pas entendu la question d’Ariane : ne voyez-vous pas avec qui vous faites rang ?

Vous êtes à hurler avec les loups pour rejeter la faute du trouble actuel sur un seul homme, un bouc émissaire qui n’a d’autre tort que de vouloir la liberté de dire et rire le vrai et qui, par son courage, amènent effectivement le vase à déborder et donc à révéler ce de quoi il est plein.

Le premier pas vers une mondialisation de l’amour ne consisterait-il pas à s’abstenir de jeter la pierre (de son jardin) à l’autre ?

Le second pas ne consisterait-il pas à être témoin de ceux qu’on lapide ?

Le monde n’est pas seulement malade de l’avidité des hommes, il est malade de cette réalité confortable que l’on construit via l’accusation : on peut alors penser que ces êtres mis au ban ne sont pas nos semblables, dès lors, nul besoin de s’en soucier...
Le « Qu’ils crèvent, ils l’ont bien mérité ! » n’est-il pas, selon vous, un obstacle à la mondialisation de l’amour ?


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