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Commentaire de soi même

sur La race, ce mot qui ne me dit rien !


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soi même 25 janvier 2014 01:14

Il n’y a pas de malhonnête de parler de race différente,c’est un fait.

Vous n’allez pas demandez à pygmée de vivre au Laponie et un Lapon de vivre en Afrique équatorial ?

Ce n’est pas qui soient pas capable de le faire, c’est que leurs morphologies le permet pas tout simplement.

Ce que vous dénoncez et la résultante de La Controverse de Valladolid .

( La question était de savoir si les Espagnols pouvaient coloniser le Nouveau Monde et dominer les indigènes, les Amérindiens, par droit de conquête, avec la justification morale pouvant permettre de mettre fin à des modes de vie observés dans les civilisations précolombiennes, notamment la pratique institutionnelle du sacrifice humain, ou si les sociétés amérindiennes étaient légitimes malgré de tels éléments et que seul le bon exemple devait être promu via une colonisation - émigration. )
https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_de_Valladolid

C’est le point de départ de la colonisation, et de toutes ses dérives en autre la classification catégoriel des races et la justification du racisme qui perdure encore aujourd’hui.

Rassurez vous, le plus beau livre que j’ai lue est Tristes Tropiques de Claudes Lévis Strauss, ( « Je hais les voyages et les explorateurs ». Il s’agit, en effet, non pas de peindre l’exotisme ou l’aventure mais de saisir une réalité humaine et de s’interroger sur le concept de civilisation.

Vers la fin de l’ouvrage, il prend la civilisation occidentale pour objet, la compare sans indulgence aux cultures dites plus « primitives », et montre que tout progrès technologique engendre une perte sur un autre plan. L’ouvrage est relativiste : la civilisation occidentale apparaît comme une option parmi d’autres offertes à l’humanité. )

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tristes_Tropiques

Il y a plus beau éloge aux races des différents condiments.

Si un livre de cette nature existe, c’est bien que les hommes peuvent dépasser leurs préjuger.

Et ce n’est le fait d’être confronter à d’autre races humaine, le problème, c’est toujours soi comment on établie le dialogue.


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