Pierre : « Dans le contexte international des Jeux olympiques, des toilettes collectives m’auraient cependant choqué. »
Partant du principe que ce type d’équipement existe, mon attitude constante à l’égard des médias me conduisait à observer :
- 1. que rien ne permettait de situer géographiquement l’installation
- 2. que même si elle se trouvait à Sotchi, rien ne démontrait qu’elle équipait un bâtiment construit pour les J.O.
- 3. que même si c’était le cas, rien ne prouvait qu’il s’agissait d’un équipement réservé aux visiteurs plutôt qu’à des gens du personnel - dans l’hypothèse où on aurait observé en Russie, les mêmes usages que chez le petit voisin de l’ouest.
P.S. - Comme je pratique en permanence le « rien ne permet », « rien ne démontre », « rien ne prouve », je suis assez chiant pour mon entourage... Bien des gens ont renoncé à me parler de ce qu’ils ont lu dans le journal, entendu à la radio ou vu à la télévision. Le 14 mai 2011, par exemple, il m’a fallu une demi-heure et six sources différentes pour que je commence à croire à l’arrestation de Strauss-Kahn et je n’ai pas cru une seule seconde à l’histoire de l’oncle de , déchiqueté par des chiens affamés.
take five : « ...en 1967 j’ai passé quelques semaines à GrafenWöhr, le plus grand terrain de manœuvres US en Europe et les cabinets étaient de ce genre... »
On se demande quand même comment les Allemands s’y sont pris pour faire accepter « ça » aux Américains...