le gender, c’est de la sociologie, c’est de la science molle.
la biologie, la physique, sciences dures...
depuis 1960, la sociologie, enfin une certaine sociologie qui veut démonter les processus actifs et opérants dans la société , à la suite de l’anthropologie , se matine d’idéologie. Elle agite les déterminismes , veut les constater comme explication du monde. Elle les expose comme facteurs opposables à tout changement et évolutions sociétales. Et donc, il faut être volontariste pour forcer le constat du blocage des pratiques sociales constatées. Mais, cette sociologie n’appréhende nullement les changements sociétaux spontanés et naturels tant elle veut avoir un modèle définitif. Cette sociologie , c’est la sociologie du blocage.
Dans les années soixante-dix , cette sociologie qui pouvait tout expliquer, et surtout, les mécanismes sociaux de reproduction , servait une nouvelle forme de ’mana’.
Aujourd’hui, ce n’est plus possible de raisonner ainsi. Il existe bien des mécanismes de reproduction sociale et d’identique, mais sans eux, il n’y aurait pas de continuité.
Et donc, il faut considérer les diversités des influences.
Ce qui est amusant, chez Monsieur Peillon, c’est ce mélange entre une pensée du 19 éme et le télescopage des nouvelles pratiques déjà en oeuvre dans la société.