« . Les Français « de souche » n’existent pas... »
Comme beaucoup de ceux qui professent les mêmes clichés que vous, vous ne comprenez rien à la problématique à laquelle vous vous attaquez. Bien sûr que le Français de souche existe ! C’est celui qui se sent viscéralement Français de souche et qui préférerait perdre une main - ou un oeil si vous préférez - que d’être n’importe quoi d’autre.
« ...il sont - et cela vaut pour vous comme pour moi - le produit de nombreux croisements entre les peuples de la Gaule, eux-mêmes métissés, et les envahisseurs venus par vagues successives du Sud et de l’Est. »
Et ça n’empêche pas le type de se sentir viscéralement de souche au point de préférer « perdre une main - ou un oeil..., etc., etc., etc. » Celui-là se sent chez lui - « A celui qui n’a rien, il reste la patrie », disait Jaurès en substance - et il vit mal la prolifération visible de voisins à « têtes d’étrangers ».
« Sur les étrangers qui vivent en France, votre regard est faussé : sans eux, l’économie de notre pays s’effondrerait. »
Personne, pas plus en France qu’en Suisse ne songe à renvoyer chez eux, les étrangers travaillant normalement et régulièrement. Ce qu’il s’agit surtout d’éviter désormais, c’est la multiplication des poches tiers-mondisées comme Sevran, Clichy-sous-Bois ou Vénissieux, et islamisées comme Mulhouse, Roubaix, Trappes ou certains arrondissements de Marseille.
Parce que c’est la paix civile de demain qui est en jeu.