L’histoire est vraiment une fable convenue, à chaque époque , on refait son histoire en rapport à l’idéologie que l’on défend.
La Bretagne après la la défaite des Vénètes (La guerre des Vénètes désigne un conflit qui s’est déroulé en 56 av. J.-C. entre la République romaine et les Vénètes, peuple de Gaule celtique, à la tête d’une coalition de peuples armoricains. Cette guerre se déroule dans le cadre de la Guerre des Gaules menée par Jules César, elle se conclut par la victoire des Romains après une bataille navale ayant lieu au large de l’actuel département du Morbihan.
La bataille dite parfois « du Morbihan » ou « de Vannes » s’est
déroulée dans un espace géographique encore inconnu, néanmoins
l’hypothèse la plus répandue la place au large de la presqu’île de Rhuys. ) et devenue une province de l’Empire Romain la plus Romanisé de la Gaule.
Suite à l’effondrement des province Romaines en Angleterre sous la pousser des Angles et des Saxon, Entre les IIIe et VIe siècles de notre ère, les Bretons de la province romaine de Bretagne
(actuels Angleterre, Galles et Cornwall, l’Ecosse, au nord du Mur
d’Hadrien étant hors de l’Empire romain) émigrèrent en masse vers l’Armorique, dont fait partie l’actuelle Bretagne.
( Les raisons du peuplement de l’Armorique par les Bretons sont mal connues (voir l’article Histoire de la Bretagne).
L’hypothèse courante évoque un exode : fuyant les massacres perpétrés
par des ennemis supérieurs en nombre, les Bretons insulaires affluèrent
d’abord vers les confins de leur grande île (les Cornouailles, le Pays de Galles et l’Écosse), puis nombre d’entre eux passèrent la Mor Breizh ou la « Mer de Bretagne » (c’est ainsi qu’ils appelaient la Manche,
nom qu’elle porte toujours en breton) pour venir se réfugier sur le
continent notamment dans la presqu’île armoricaine puisque la Gaule
était elle-même celtique. Une hypothèse plus récente met en avant les
liens ayant de tout temps existé entre les deux contrées (et non la
pression des Angles
et autres peuples germaniques), et cela bien avant l’arrivée de
peuplades christianisées face aux barbares. Il est aussi probable qu’il
n’y ait pas eu de migration à proprement parlé au début du Moyen Âge
mais un exode continue depuis de nombreux siècles ou même que certaines
tribus telles que les Osismes et les Vénètes étaient peut-être
autochtones. Quelle qu’en soit la cause, ce mouvement d’immigration fut
facilité par la proximité culturelle des bretons avec les peuples gaulois, d’ailleurs plus ou moins romanisés, bien que des conflits eurent lieu avec les autochtones privés du pouvoir et les Francs investis du pouvoir impérial depuis Clovis. Les Bretons nommèrent la péninsule armoricaine « petite Bretagne ». )
On a beau réfère l’Histoire, les faits sont là qui montre que l’histoire réinventé sert toujours une idéologie masquer !