Bon article.
Merci.
Un passage a notamment retenu mon attention :
« Ces dernières décennies, pour accélérer cette réalisation de la valeur
marchande on n’a pas hésité à aliéner encore plus ces pauvres
« travailleurs-consommateurs » par le développement du crédit à la
consommation ou immobilier avec le prélèvement sur le pouvoir d’achat de
l’emprunteur d’un intérêt par le système financier, devenu le seul
maître en matière de création monétaire ».
En effet, on tient-là une clé (sinon LA clé) du système.
C’est ce qui m’avait incité à devenir lecteur régulier des posts de l’auteur du forum
LE SILENCE DES LOUPS (Décryptage d’un monde interdit aux moins de 16 dents)
Car, il y a déjà 5 ans de cela, il avait ouvert son forum sur cette idée que le système bancaire privé s’apparentait à une sphère de parasites improductifs et nuisibles qui s’engraissent sur le dos de l’économie réelle.
Posté en 2009, en introduction :
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Je suis parti d’un constat : les politiques et les journalistes, pourtant friands de sujets polémiques, n’évoquent jamais certains thèmes se rapportant à l’emprise du monde financier sur la gouvernance de la planète.
Les Etats, les entreprises et les particuliers sont soumis, de manière direct et indirect, à une forme d’impôt scélérat et se voient contraints de verser une sorte de dîme permanente au monde de la finance.
Le caractère « systémique » et pyramidal de l’endettement des Nations permet à un cénacle de « banksters » de s’emparer progressivement d’une part toujours plus grande des richesses produites.
Tels des parasites aliénant leurs proies.
(...)
Ce constat et ces interrogations en ont amené d’autres et c’est un regard nouveau que je porte à présent sur la gouvernance de la France, de l’Europe et du monde.
(...)
Quel magnifique modèle basé sur l’hyper-consommation immédiate et sur la marchandisation de tout ce qui peut présenter une forme de valeur d’échange."
(...)
l’hyper-consommation pousse à l’hyper-endettement.
Qui a intérêt à ce que les échanges de marchandises et de services s’accélèrent et se multiplient en dehors de toute règles de saine gestion et en transitant le plus systématiquement possible par l’intermédiaire de leurs bienveillantes ponctions ?
QUI
...improductifs et nuisibles qui s’engraissent sur le dos de l’économie réelle : ils me rendent captif et amputent à leur profit mon pouvoir d’achat.
La production de richesse est une chose.
La captation de richesse en est une autre.
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C’était il y a 5 ans.
Au sein de la population, la prise de conscience a bien progressé depuis.
Mais, grâce à la duplicité des politiques et des médias, la finance n’a rien perdu de sa toute puissance 
Il reste encore du chemin...