@ CorsairePR : vous racontez n’importe quoi !! Premièrement, c’est l’inverse, le nationalisme est la forme exacerbée du patriotisme, et je vous renvoie à la fameuse définition de Romain Gary, « Le patriotisme, c’est l’amour des siens. Le nationalisme, c’est la haine des autres. » Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si les Nazis se disaient donc nationaux-socialistes, et pas patriotes-socialistes...
De plus, le racisme ne naît pas du nationalisme (la xénophobie peut-être par contre), j’en veux pour preuve le fait que pendant longtemps on ait considéré les Noirs comme des êtres inférieurs, ceci était lié au rapport d’hommes blancs, et donc d’Occidentaux, que nous entretenions avec le reste de l’Humanité, et cela n’avait rien à voir avec les nations en tant que telles ; nous ne pensions pas être supérieurs parce que Français, mais supérieurs parce que Blancs...
Quant à votre raisonnement sur le souverainisme, il n’a aucun sens pour la simple et bonne raison qu’en-dehors de l’Union européenne qui cherche à établir une sorte de fédéralisme, tous les autres États de la planète vivent le souverainisme, y compris les États fédéralistes comme les États-Unis. En outre, la volonté de plus en plus de territoires d’aller vers l’indépendance (l’Écosse encore maintenant, le Québec, etc.) prouve que ce concept est de plus en plus d’actualité. La dislocation des nations pour aboutir à la naissance de petits territoires clamant leur désir de souveraineté n’aboutit donc pas à la fin du souverainisme ! « Shanghaï
n’est pas chinois« : ahahah
Vous n’êtes jamais allé là-bas pour écrire une absurdité pareille !!
La contradiction ne vous étouffe pas par ailleurs, avec votre dernière phrase, car si le capitalisme est sauvage, alors il n’est pas dirigé depuis la Maison-Blanche, et vouloir plus d’État tout en clamant que le souverainisme est mort et que dernier serait la conséquence du nationalisme (sic), là on est carrément dans le domaine d’une pensée »oxymorique« !