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Alain Finkielkraut : le philosophe des délaissés, ces Français de souche…

Alors que la France est de plus en plus en proie à une crise identitaire, face à la montée de l’immigration, de la délinquance et aux incertitudes d’un pays qui tend à renier son passé et son histoire au profit d’un égalitarisme social nivelé par les concepts bien-pensants de la tolérance et de la richesse des diversités multiculturelles, Alain Finkielkraut, le philosophe des délaissés, ces Français de souche, est reçu à l’Académie française.

A quoi peut bien penser Alain Finkielkraut, ce professeur de philosophie à l’Ecole Polytechnique durant un quart de siècle, au moment d’être reçu à l’Académie française ? A cet enfant, né à Paris en 1949, fils unique d’un maroquinier, naturalisé à un an et qui, à l’école, préféra longtemps utiliser le diminutif de son nom "Alain Fink" pour éviter les moqueries ? Aux combats menés pour l’expression d’une pensée libre, rétive aux engagements ou aux étiquettes, au long d’un parcours qui l’emmena de l’extrême gauche estudiantine à des attachements "droitiers" réprouvés par cette gauche morale qui n’en finit plus de le déclarer infréquentable ?

Pourtant, Finkielkraut a refusé de céder à l’extrême droite le terrain de la nostalgie. Plus grave encore : il a laissé entendre que la hausse de l’immigration musulmane accompagnait le recul d’une certaine forme de civilisation. L’« esprit Canal » s’est jeté sur lui comme les loups sur un agneau. Soudain un respectable professeur Gallimard qui avait son rond de serviette chez Lipp est devenu Mandarin le Maudit pour tous les ricaneurs qui zappent, blaguent, haussent les épaules et mettent sur le même plan Lully et Doc Gyneco, le hip-hop et « Le lac des cygnes », Christine Angot et la marquise de Sévigné. Pire encore : le nihilisme a failli ne faire de lui qu’une bouchée quand, pour arranger son cas, Finkielkraut a ironisé sur l’équipe de France de foot plus « black-black-black » que black-blanc-beur.

Dans un pays où la lutte contre les discriminations est devenue l’alpha et l’oméga de la pensée, il est passé à un ongle du carton rouge. Seulement voilà : tel il est, tel il reste. S’éloignant des analyses sportives auxquelles il ne comprend visiblement pas grand-chose, il est revenu à son sujet, l’a creusé et a enchaîné les livres sur l’identité française. Avec tant de style, d’intelligence et, surtout, de courage qu’il est aujourd’hui devenu « immortel », au terme d’une bataille sous la Coupole. Intellectuel juif, fils d’un survivant d’Auschwitz, il s’est fait traiter de « maurrassien », du nom de Charles Maurras, éloigné du Quai Conti en 1945. Mais la polémique n’a pas duré et Alain Finkielkraut siège désormais au fauteuil de Félicien Marceau, dont l’entrée à l’Institut avait également provoqué un scandale. Déjà pour « maurrassisme » supposé.

Il y a, sous la Coupole, une petite dizaine de personnalités qui ont fait leur cette phrase terrible de Georges Bernanos : « Quand je n’aurai plus qu’une paire de fesses pour penser, j’irai l’asseoir à l’Académie française. » Ce sont tous ces porte-drapeaux autoproclamés de la bien-pensance qui ont barré d’une croix noire leur bulletin de vote, alors que la majorité des immortels choisissait d’accueillir parmi eux le philosophe Alain Finkielkraut avec 16 voix sur 28.

L’auteur de la Défaite de la pensée ne laisse personne indifférent, par ses écrits, par ses prises de position médiatiques, et surtout par un attachement formidable à la France et à ses valeurs. Lui, le juif d’origine polonaise, pur produit de la méritocratie française, professeur à Berkeley puis à Polytechnique, ne reconnaît plus notre pays tel qu’il était il y a cinquante ans. Il ne fait que dire cela. Et il l’a à nouveau magnifiquement écrit à l’automne dernier dans un ouvrage qui a suscité la polémique : l’Identité malheureuse.

Jean d’Ormesson, qui s’est beaucoup battu pour qu’Alain Finkielkraut puisse entrer Quai de Conti, a écrit dans Au plaisir de Dieu que « la tradition est un progrès qui a réussi ». L’Académie française est un lieu ô combien traditionnel, mais qui se retrouve parfaitement, avec ses quatre siècles d’existence, dans cette jolie formule. C’est un progrès qui a réussi en s’ouvrant successivement aux femmes, aux étrangers, formidables défenseurs de la francophonie, et maintenant à un philosophe français “de sang mêlé” qui, en osant prendre la défense des “Français de souche”, représente davantage l’opinion majoritaire dans le pays que ces quelques habitués du Café de Flore, auteurs, à son encontre, d’une cabale insupportable.

Non, Alain Finkielkraut ne fait pas rentrer « le Front national sous la Coupole » comme ses détracteurs ont pu le déclarer avant de gribouiller des croix noires contre celui dont la famille avait autrefois connu les étoiles jaunes. Il y fait rentrer un attachement impressionnant aux valeurs d’une France qui est en train de disparaître et que l’Académie a pour mission de perpétuer autant que de défendre. Il ne cesse de s’inquiéter d’une école de la République incapable d’enseigner la lecture, en passe de sombrer sous le coup d’un absurde pédagogisme et qui refuse les différences, notamment les signes religieux. Alain Finkielkraut est certainement celui qui a le mieux montré la bêtise des mesures issues de la commission Stasi, privant les gamins de leur kippa ou de leur médaille de baptême, sous prétexte que cela pouvait offenser certains de leurs camarades de classe, voire même fausser leur discernement.

Maintenant, c’est vrai, il s’inquiète haut et fort d’un islam qui se fait trop présent et devant lequel toutes les institutions françaises s’inclinent avec une facilité déconcertante. Et lorsqu’il ressasse l’exemple de Villers-Cotterêts, où la maison du maître d’école a été remplacée par une mosquée et la charcuterie par une boucherie halal, il ne fait que pointer du doigt ce que d’autres appellent « le grand remplacement ». Son but n’est pas d’appeler à une fermeture des frontières, mais d’être l’une des dernières sentinelles de cette France que nous aimons tous, forgée par mille ans d’histoire, décrite par Victor Hugo, chantée par Péguy et défendue par Clemenceau, cette France dont les repères, sacrifiés par l’angélisme béat de certaines élites à l’égard du multiculturalisme, sont en train de disparaître.

C’est cette “trahison des clercs”, à laquelle nous assistons lorsque Manuel Valls déclare que « l’islam est compatible avec la démocratie », qui crée un véritable désarroi identitaire. Bien sûr, vient s’ajouter à cela une crise économique qui affecte bon nombre de Français dans leur vie quotidienne. Mais tous ceux qui s’obstinent à comparer la situation actuelle avec celle des années trente, aveuglés par la seule montée du populisme, n’ont pas compris à quel point, aujourd’hui, les malheurs de la France se résument d’abord à cette incroyable crise d’identité. À ce que des millions et des millions de Français de souche ou qui ont été assimilés ne reconnaissent plus le pays dans lequel ils ont grandi. Le premier ministre ferait bien, tant que sa popularité est au zénith, de relire les livres d’Alain Finkielkraut, lui qui, comme ministre de l’Intérieur, a participé plus que d’autres à l’émergence de ce désarroi identitaire. Comment s’étonner, pourtant, que ce sentiment s’accroisse encore cette semaine pour nos frères juifs qui fêtent leur pâque (Pessah) et pour les catholiques qui vont célébrer la résurrection du Christ. Sans un voeu des autorités républicaines pourtant si promptes à accompagner l’ouverture du ramadan et l’Aïd el-Kébir !

SOURCES :

http://www.valeursactuelles.com/france-d%C3%A9sarroi-identitaire

http://www.parismatch.com/Culture/Livres/Alain-Finkielkraut-l-epee-dans-le-plat-560537

http://infocomnet.wordpress.com/2014/04/22/alain-finkielkraut-le-philosophe-des-delaisses-ces-francais-de-souche/


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67 réactions à cet article    


  • César Castique César Castique 25 avril 2014 12:00

    Pour moi, Alain Finkielkraut est un identitaire juif - ils le sont tous, à part quelques torturés de l’appartenance comme Shlomo Sand - qui - à la différence de la plupart des autres - reconnaît le droit des peuples à leur identité propre, parmi lesquelles, bien sûr, l’identité française dont il se sent aussi comptable du fait de son histoire personnelle et de sa formation intellectuelle.


    • Allexandre 25 avril 2014 12:47

      Ca ne fait qu’un schizo de plus sous la coupole. Kink est un imposteur au service du sionisme qui méprise les musulmans et monte les Français les uns contre les autres. Et qui en tirera le bénéfice, comme tjs. Mais les Français sont assez stupides pour craindre l’islamisation, et ne voient pas qu’avant que cela arrive, il y a sionisation et les conséquences en seront bien plus importantes.


      • mmbbb 26 avril 2014 09:02

        Si les Epgyptiens avaient ete moins desorganises durant la guerre des six jours les israeliens n’auraient pas foutu la pate avec les mirages III a l’armee de cette nation N’oubliez pas que le petit roi de jordanie a matte les palestiens qui voulaient avoir une base arriere dans ce pays La solidarite arabe est belle le sionisme a encore de beau jour 


      • zetetikos 27 avril 2014 06:41

        Je vois que l’antisémitisme a de beaux jours devant lui ! Il n’y a pas besoin de gratter beaucoup pour que le soi-disant amour de son prochain, la soi-disante tolérance, ne montre en réalité son vrai visage ! La « sionisation » (sic) !!!! Il est vrai que tous ces Juifs qui immigrent en France par dizaines de milliers chaque année, alors que leur présence sur le territoire est si récente qui plus est, sont un vrai danger, comparés à ces quelques centaines de Musulmans résidant en France depuis des siècles et des siècles ! Vous en avez d’autres des âneries du même genre, et vous les distribuez au compte-goutte ; vous avez raison il ne faut pas abuser des bonnes choses !

        Les Français constatent l’islamisation, comme tous les Occidentaux du reste, sauf les Américains qui ne sont pas si bêtes et se sont bien gardés d’accueillir trop de Musulmans sur leur territoire, bien que je me méfie de l’autre manipulateur qui les dirige actuellement... Nous n’avons pas besoin de Finkielkraut pour constater la déchéance de notre pays et de notre culture sous les coups de boutoir de ces ilotes, et de leurs complices, collabos d’un nouveau jour, dont vous semblez faire partie avec délectation ! Décidément, la France aura toujours maille à partir avec ses traîtres...


      • jocelyne 30 avril 2014 18:19

        zetetikos, rendez vous aimables et tout ira bien pour votre petit pays


      • Scual 25 avril 2014 13:08

        Finkielkraut est un des fers de lance de l’extrême-droite juive. Alors c’est pas parce que c’est pas le même camps que les autres extrême-droites qu’il vaut mieux que les autres.

        Je considère ce type comme extrêmement dangereux pour la France. C’est par conséquent un véritable déshonneur que cette déchéance de l’académie française, souillée par sa présence qui n’est rien d’autre qu’un crachat à la figure de tout les citoyens musulmans de la part de la République qui par cette nomination officialise qu’elle considère que la laïcité est compatible avec l’islamophobie la plus crasse.


        • scylax 25 avril 2014 15:06

          pauvre type...


        • Scual 25 avril 2014 18:35

          Non, je pense que de ce coté là il est très bien fourni.


        • mmbbb 26 avril 2014 09:16

          N’oubliez pas qu’il il eut des vagues d’immigration avant vous les italiens en partcilulier Leur integration ne furent pas facile et il y eut meme des meutres Relisez la loi regissant d’immigartion du Front populaire, appliquee a lettre les problemes de délinquance seraient vite resolu Alors traite Fielk d’extreme moi me fait doucement rigoler Le danger de la France est Harlem Desir et les soss petris de bons sentiments vivant comme de gros bourgeois du XIX sicele ne cessant de donner des lecons de morale verouillant les medias et n’ayant rien a foutre du peuple francais mais la droite ne vaut guere mieux elle vous a bien exploitee 


        • Scual 26 avril 2014 10:41

          Moi le « vous » de votre commentaire me fait bien rigoler... parce que moi je suis d’origine espagnole. Je ne suis ni musulman ni nord africain.

          Les espagnols ont un truc très intéressant au niveau de leur apparence. Par exemple moi j’ai les cheveux bien foncé et la peau assez sombre et comme je porte une petite barbe, parfois un peu négligée par flemme et pas du tout par religion, j’ai droit très souvent au regard raciste. Entre ceux qui ont peur, très nombreux, ceux qui ont la haine ou du mépris, je peux vous assurer que ces attitudes sont courantes quand on me croise sans me connaitre du tout et qu’elles sont totalement le fruit de ce gigantesque fantasme collectif.

          Mon cousin à la peau bien blanche et aux cheveux châtains, tout aussi espagnol et ma cousins rouquine et toute aussi espagnole que moi n’ont jamais eu affaire à ça... Alors le coup des différences culturelles et toutes ces conneries je sais personnellement que c’est juste le cache sexe du racisme.

          Je sais que si nos concitoyens à la peau sombre ont tant de mal à s’intégrer, c’est parce qu’on ne les laisse pas faire aussi facilement qu’on l’a fait pour nous, italiens, portuguais espagnols et polonais. Nous dès qu’on a réussi à parler sans accent c’était réglé parce que ça ne se voyait plus... eux ils peuvent le faire tant qu’ils veulent ça se voit et le rejet purement raciste reste donc là. Et voila tout ce qui se cache derrière les kilomètres d’excuses et de détournement du sujet de l’extrême-droite. Quand on est rejeté et maltraité par une culture, faut pas s’étonner que l’intégration soit moins rapide et beaucoup moins attractive et que la tentation de s’enfermer dans la culture d’origine qui ne nous traite pas comme de la merde soit forte. Au passage ça marche aussi dans l’autre sens, j’ai connu des musulmans nord-africains qui ressemblaient parfaitement à des européens et qui sont écœurés de la manière dont ils sont épargnés contrairement au reste de leur famille... eux aussi ils savent la vérité sur ces discours en réalité racistes utilisant la culture comme excuse.

          Ce que j’ai vécu totalement absurdement me fait défendre les musulmans face aux attaques leurres débiles de personnes comme Finkielkraut sur leur culture alors que le problème c’est la culture d’extrême-droite de gens comme lui qui rejettent les musulmans et les empêchent de s’intégrer en leur niant le droit d’être tout simplement traité comme les autres et donc de pouvoir se mélanger et s’intégrer. Oui il y a bien incompatibilité mais pas à cause de la culture musulmane qui rejetterait la culture française, à cause de la culture facho raciste française qui rejette la culture musulmane.

          Bien sur une poignée de fachos racistes musulmans aussi sont comme ça, les 4 et demis par quartiers qu’on appelle intégristes musulmans et dont les médias fachos et notre fanatique Finkielkraut veulent faire des stars puisqu’ils ne parlent que d’eux, mais la vérité c’est que c’est trèèèèèèès largement des français de souche ou déjà intégrés que viennent le rejet et la haine, c’est pas les intégristes islamistes qui font 18% aux présidentielles.

          Le fantasme d’opposition, d’incompatibilité, de camps différents entre eux et nous est encré par les médias dans la tête des français et c’est profond. C’est d’ailleurs pour cette raison que quand je tape sur Finkielkraut pour défendre mes concitoyens musulmans, vous me mettez instantanément et naturellement parmi eux... je suis dans leur camps j’en suis donc un n’est-ce pas ? Et bien non, c’est une vraie opinion qui est le fruit d’un raisonnement et de mon idéologie humaniste et universaliste. Ici sur AV à chaque fois j’y ai droit, on ne peut pas concevoir que la Raison ait la moindre importance, il n’y a même plus d’analyse, de réflexion ou d’opinion, c’est devenu une question de camps.

          Le pire c’est que je défend les musulmans mais... je suis athée et profondément anti-religieux. Je déteste les religions que je considère folles dangereuses et idiotes... mais bon derrière les croyants il y a des hommes, des histoires et peu importe le mensonge absurde du caractère identitaire de la religion, la vérité c’est qu’aucun d’entre eux ne se défini par la religion et qu’ils méritent d’être traités comme les autres. La majorité sont des gens très bien et sympathiques même s’ils ne partagent qu’une petite partie de notre culture personnelle. Ils sont aussi « compatibles » et « intégrables » à la culture française que n’importe quels autres humains, même les Roms si chers au premier ministre d’extrême-droite Valls.

          Finkielkraut est un des symboles de ce racisme qui ne dit pas son nom et qui est si dangereux pour la France car profondément diviseur et anti-républicain et je maintiens donc que son entrée à l’académie Française est un déshonneur et le signe de la déchéance communautariste de la République...


        • zetetikos 27 avril 2014 05:10

          Votre commentaire est d’une rare indigence, multipliant tous les poncifs possibles et imaginables à notre époque !!

          De votre réflexion empreinte de naïveté concernant un pseudo universalisme, « Et bien non, c’est une vraie opinion qui est le fruit d’un raisonnement et de mon idéologie humaniste et universaliste« , à votre tentative d’essayer de faire croire que le rejet dont sont l’objet les Musulmans serait lié au racisme insondable des Français, alors même que le problème se pose exactement de la même manière dans l’ensemble des pays occidentaux, quelles que soient les politiques d’immigration mises en place (de la Suède au Canada, en passant par les Pays-Bas et le Royaume-Uni).

          Votre réflexion qui consiste à faire croire - vous abusez-vous vous-même ? - que l’universalisme serait une sorte de pensée molle tolérant l’intolérable au sein même de sa propre culture sur son propre territoire est grotesque, sans mentionner à quel point elle est philosophiquement non fondée ! Pour rappel, l’universalisme moral (car c’est celui-ci que vous mentionnez), part du postulat que certaines valeurs éthiques seraient applicables à l’ensemble de l’Humanité, par-delà les différences religieuses, politiques, raciales, et maintenant sexuelles : les fameux droits de l’Homme (même si cette notion est particulièrement sujette à caution car il faudrait débattre de cette idée de droit naturel mais enfin là n’est pas le sujet...).

          Hors, rien dans cette notion ne présuppose une forme d’égalité absolue des cultures, et encore moins la nécessité de la présence sur tout territoire, toute nation, de toutes les cultures se trouvant en ce bas monde. C’est bien cela que les Français de souche (c’est-à-dire ne vous en déplaise ceux qui descendent de ceux qui ont construit culturellement la France avant la sécularisation de celle-ci), et ceux eux-mêmes issus de l’immigration mais qui ont fait leur la culture française (et c’est le cas d’Alain Finkielkraut comme de la quasi totalité des descendants d’immigrés polonais, italiens, espagnols, portugais), reprochent aux Musulmans. Les Juifs ont toujours eu la décence de prendre notamment des prénoms français pour mieux s’intégrer à cette culture, et n’étaient pas jusqu’à une époque récente (celle née justement des revendications communautaristes des Musulmans et dans lesquelles certains Juifs se sont eux aussi roulés dans cette compétition identitaire de mauvais aloi) en train de réclamer des accommodements permanents pour eux et leurs congénères !

          Le rejet des Musulmans n’est pas la cause mais la conséquence. L’exemple que vous prenez de vous-même et de votre apparence ne prouvant rien de plus que ce rejet est maintenant massif, et je m’en félicite. Je ne pense pas que l’islam, et par voie de conséquence les Musulmans, soit incompatible avec la république, mais avec la civilisation occidentale, et de facto avec la France. L’intégration ne se résume pas à travailler, gagner de l’argent, payer des impôts, consommer, à moins de ne considérer les citoyens que comme de simples agents économiques interchangeables. Là, effectivement, votre universalisme pourrait s’appliquer ! Quant à votre réflexion »mais bon derrière les croyants il y a des hommes" j’ai aussi un scoop pour vous (j’espère que vous êtes assis car ça va ébranler certainement vos certitudes !), les Nazis aussi étaient des hommes, pas de petits hommes verts revêtant leur costume pour mieux nous tromper !

          Pour toutes ces raisons, je considère au contraire qu’Alain Finkielkraut est un homme admirable pour l’amour qu’il éprouve pour la culture française et qui, plus que tout autre, a sa place au sein de cette prestigieuse institution qu’est l’Académie française. La division que vous rejettez ne peut disparaître que lorsque le socle est suffisamment fort pour que l’union soit possible, et ceci n’est certainement pas le cas avec les Musulmans, dont la présence sur le territoire, imposée aux Français - faut-il le rappeler aussi ?! - est en soi un problème.


        • Scual 28 avril 2014 08:37

          @Zetetikos : A quoi ça sert de répondre à un commentaire qui manifestement ne cherche pas à répondre mais à embrouiller et détourner l’attention de ce que dit mon commentaire ?

          Trouvez une réponse à ce que je dis au lieu de répéter les trucs que j’ai essayé de démontrer comme faux en argumentant. A vrai dire votre commentaire qui est plus de l’ordre de la récitation que de la réflexion me conforte largement dans ce que je pense de ceux qui tiennent de tels propos.

          @Saint-Just : En France le problème ne peut pas être le sionisme. De la même manière qu’il ne peut pas être la franc-maçonnerie ou Bilderberg ou les lobbies etc.

          Si de tels groupes peuvent s’approprier la France, et je vous rappelle que c’est soit un seul soit aucun d’entre eux puisque sinon ils se partagent le pouvoir, alors le problème se trouve dans le système qui permet à ces groupes de violer les principes, la constitution etc...

          Bref Imaginons que les juifs détiennent TOUT les pouvoirs et qu’on se débarrasse des juifs... ils sont dans l’année remplacée par un autre groupe qui aura encore plus d’influence puisqu’on lui aura déroulé le tapis rouge de tout les postes laissés vacants.

          Inversement toujours dans le cas servant d’exemple puisque je ne le pense pas étant donné qu’il y a plusieurs groupes très influents et pas seulement leur lobby, où les juifs seraient les maitres du pays. Vous remplacez le système par un truc solide et bien pensé pour empêcher ce genre d’intérêts particuliers de profiter des vides et manquements du système actuel et... il n’y a plus de problème. Le système démontre automatiquement les abus et les corrige sans s’en être pris à un groupe d’intérêts ou pire à une communauté entière dont la plupart des gens sont totalement innocents... et en plus ça empêche cette histoire de recommencer avec d’autres groupes ou alors ça les oblige à chercher de nouvelles failles et à regrimper tout les échelons pendant des décennies.

          Voila pourquoi le problème c’est VRAIMENT le système, et pas ceux qui en profitent. Il n’est pas de société possible où il n’y aurait pas ce genre de personnes. Soit on a un système qui empêche ces gens de nuire, soit on passera notre temps à se pointer du doigt les uns les autres pendant que les turcs remplaceront les bouddhistes ayant eux même évincés la secte du triangle turquoise et autres groupes d’intérêt émergés de nulle part.

          C’est la grosse erreur de Dieudonné et de l’extrême-droite. Ils sont plus dans la vengeance, c’est à dire dans le passé et le présent, que dans la solution, c’est à dire dans l’avenir. Ils sont plus dans la guérison des conséquence, que dans le traitement des causes.

          Voila pourquoi les sionnistes ou tout autre pouvoir étranger ne sont pas le problème, le problème c’est : comment une puissance comme la France peut-elle être utilisée et infiltrée comme si c’était une vulgaire république bananière ? Je ne sais pas qui des USA, d’Israel, de l’Allemagne ou du Qatar possède le plus la France mais je suis sur d’une chose, la France ne défend que rarement ses intérêts et seulement si ça ne nuit pas à ceux de ces puissances étrangères. Elle passe son temps à défendre leurs intérêts même si ils sont contraires à ses intérêts propres.

          Alors oui il y a un problème, mais ce n’est pas UN groupe en particulier et les individus qui les défendent, et je ne vais pas dire que c’est le cas de Finkielkraut à chacun de se faire son idée, n’ont d’influence que parce que le système permet aux personnes déjà dedans de nommer à tour de bras et je ne parle même pas des médias, le vrai problème originel, qui sont carrément des entreprises pouvant donc être possédées par n’importe qui...

          Le problème est bel et bien dans le système.


        • zetetikos 1er mai 2014 05:37

          @ Scual : je n’ai absolument pas cherché à embrouiller quoi que ce soit ; j’ai au contraire répondu point par point à l’ensemble de votre argumentaire, qui consiste à enfoncer des portes ouvertes en répétant inlassablement la catéchèse véhiculée sans cesse par ces mêmes médias que vous conspuez par ailleurs en les rendant responsables de ce qu’ils ne cessent de dénoncer en permanence pour la grande majorité d’entre eux ! C’est le comble de l’ironie ! Les médias sont au contraire dépassés, parce que la doxa officielle que vous répétez aussi jusqu’à l’absurde ne fonctionne plus sur la population... Vous essayez de congédier le réel, mais comme l’écrivait avec brio l’écrivain et essayiste américain Philip K. Dick, « Le réel, c’est ce qui refuse de disparaître même lorsqu’on a cessé d’y croire ».

          Votre condamnation du « système » est un peu vaine, car en soi cela ne signifie pas grand-chose... En effet, qu’est-ce que le système ? C’est une notion vide de sens, si on ne peut la caractériser par quelque chose d’autre. Toute société se fonde obligatoirement et ontologiquement sur quelque chose de systémique, y compris ce que vous appelez de vos voeux lorsque vous écrivez « Vous remplacez le système par un truc solide et bien pensé pour empêcher ce genre d’intérêts particuliers de profiter des vides et manquements du système actuel « . Ce truc solide sera un système... Nous ne savons donc pas de quoi vous parlez exactement, à part céder peut-être aux théories complotistes.

          Plus on laisse la possibilité à un grand nombre de groupes d’exister au sein d’une société (non pas les désigner, c’est-à-dire prendre acte du réel, non les laisser exister), ce qui est le fondement même du multiculturalisme, plus on crée de la division, des lobbies, un » Je « hypertrophié prenant la place du » Nous " collectif. C’est justement ce que ne cesse de dénoncer Finkielkraut, beaucoup plus Français que Juif, au contraire d’un Bernard-Henri Lévy. Toutes les cultures ne peuvent cohabiter dans un même espace sociétalement construit, sans aboutir à une balkanisation ou à une libanisation (comme vous voulez) de la société en question. Nous en constatons tous les jours la réalité. Lévi-Strauss l’avait remarquablement compris et démontré, sans compter l’atteinte mortelle à la diversité culturelle humaine que paradoxalement on cherche soi-disant à défendre...

           


        • Nicolas_M bibou1324 25 avril 2014 13:27

          Vous avez utilisé l’expression « Français de souche ». Je ne suis pas allé plus loin, cet article est obligatoirement un torchon.


          • INFOCOM-Net INFOCOM-Net 25 avril 2014 13:40

            En fait, l’expression « Français de souche » a deux cents ans d’âge, mais elle ne fait controverse que depuis qu’elle a été reprise par le Front national. Sachant que tout le monde parle impunément de « Français issus de l’immigration », comment qualifier les autres sans choquer personne ? Wikipédia, l’encyclopédie du IIIe millénaire, a sa suggestion : « personnes de nationalité française n’ayant pas d’ascendance étrangère immédiate et n’étant pas issues de l’immigration récente ». Une formulation correcte à tous égards, certes, mais un peu lourde à manier.


          • Maître Yoda Castel 25 avril 2014 13:45

            Après la destruction du mot race, attaquons-nous à ceux qui ont quasiment toutes leurs racines en France... 1984...


          • Julien30 Julien30 25 avril 2014 14:20

            « Français de souche ». Je ne suis pas allé plus loin, cet article est obligatoirement un torchon. »

             

            Commentaire type du gars formaté réagissant de manière viscérale dès que l’on utilise certains termes proscrits par les medias et les « intellectuels » du système (dont Finkie est un faux dissident, disons « demi »). Vous faites bien où on vous dit de faire mon vieux, c’est bien, du Pavlov en action...


          • Baarek Baarek 25 avril 2014 15:18

            @bibou1324 : Vous démontrez un véritable génie d’argumentation, couplé d’une ouverture d’esprit hors du commun. Je suis désolé pour vous... Quitte à aller sur AgoraVox, autant lire les articles ? Vous avez peur de quoi ? D’être « converti » ? Vous savez d’avance que vous n’approuverez pas plus que moi cet article, mais par conviction, pour vous montrer à vous même que vous cherchez à vous ouvrir, lisez le malgré tout ! (Au pire vous rigolerez un peu, plutôt que de passer pour un con ici...)


          • Nicolas_M bibou1324 25 avril 2014 17:18

            Ce n’est pas l’expression, bien que caractéristique du FN aujourd’hui, qui me choque. C’est l’opposition qui est faite, dès le début de l’article, entre « français de souche » et les « autres ». C’est le mot « délaissé », comme s’il existait une différence de loi, une différence d’attitude du gouvernement, entre 2 groupes de personnes, les « français de souche » et les français issus de l’immigration.


            Je sais que je suis à contre courant, mais je gage qu’aucun commentateur n’est capable de me sortir une seule loi, une seule mesure qui différencierait les français issus de l’immigration des français de souche. Et qu’aucun commentateur n’est capable de me définir ce qu’est un français de souche, avec une définition à laquelle tout le monde adhérerait.

            Cette expression postule qu’il existe 2 groupes de personnes. Mais en l’absence de définition de critère permettant la différenciation des 2 groupes, cette expression est absurde.

            L’article partant d’un postulat faux (ou non défini), et n’étant visiblement pas un raisonnement par l’absurde, le lire ne m’a pas semblé pertinent.

            Parler sans savoir de quoi on parle (c’est quoi un français de souche), c’est juste être crétin. A moins que l’article définisse les notions qu’il utilise, mais cela ne me semble pas être le cas. Article crétin = je passe.

          • César Castique César Castique 25 avril 2014 18:12

            « ...comment qualifier les autres sans choquer personne ?  »

            Par exemple « Français tout court », parce que dès que quelqu’un se sent obligé d’ajouter quelque chose du genre « comme les autres », "comme toi« , »comme nous" c’est qu’il y a absence d’évidence.

            « Wikipédia, l’encyclopédie du IIIe millénaire, a sa suggestion... »

            Moi, j’en ai une autre, beaucoup plus simple, nettement moins lourde et non stigmatisante - très importante de nos jours la non-stigmatisation : est Français de souche celui qui se sent Français de souche (précision facultative : à l’exclusion de tout autre enracinement).

            « Cette expression postule qu’il existe 2 groupes de personnes. Mais en l’absence de définition de critère permettant la différenciation des 2 groupes, cette expression est absurde.  »

            Le critère existe, c’est le clivage entre les NOUS et les EUX résultant du sentiment d’appartenance : les NOUS de souche et les EUX issus de l’immigration, d’une part, les NOUS issus de l’immigration et les EUX de souche, d’autre part. Les issus de l’immigration disent souvent les « Gaulois », pour distinguer les de souche et s’en distinguer.

            « ...aucun commentateur n’est capable de me définir ce qu’est un français de souche, avec une définition à laquelle tout le monde adhérerait. »

            J’en ai une, à laquelle tout le monde peut adhérer. Je l’ai exprimée ci-dessus en gras. L’appartenance étant du domaine de l’intime, c’est à chacun de savoir où il se situe par rapport aux autres, ce n’est pas aux autres de savoir où chacun se situe.


          • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque (Courouve) 25 avril 2014 18:55

            Un Français de souche est quelqu’un qui a au moins trois grands-parents français.


          • César Castique César Castique 25 avril 2014 20:12

            « Un Français de souche est quelqu’un qui a au moins trois grands-parents français. »


            Je sais que vous n’avez rien de nazi - je vous ai lu sur d’autres thèmes -, mais pour moi, c’est du critère de nazi, formaliste et rigide. A quoi servirait de considérer comme Français de souche, des chimériques qui se la jouent citoyens du monde ? 

            Se savoir « de souche » permet, à mon avis, d’admettre que d’autres refusent de se considérer comme tels... Après tout, leur position n’est pas très confortable : ils ne sont plus des NOUS et les EUX refusent de les considérer comme faisant partie de leurs.

            J’ai entendu des Pieds-Rouges - des métropolitains qui avaient choisi l’Algérie au moment de l’indépendance - avouer que les Algériens n’avaient jamais cessé de les considérer comme des Français. Ils étaient surtout marris, je crois, du fiasco de la solidarité universelle à laquelle ils aspiraient...

          • Mowgli 26 avril 2014 12:04

            « cet article est obligatoirement un torchon. »

            Y’a bon, torchon ! Valeureux Palestiniens y’en a se foutre torchon de cuisine sur le groin. Donc, Y’A BON, TORCHON ! Inch (2,54cm) Allah (Eia eia eia al Allah) et salez mes légumes. Baraque à toutous et amadou lilas à tou-te-s.


          • Stof Stof 25 avril 2014 13:52

            Je l’ai entendu à la radio parler du 11 septembre...affligeant de bêtise et d’ignorance. C’est l’idiot utile du système en somme. Bref, pas tout à fait l’idée que je me fais d’un philosophe.


            • Allexandre 25 avril 2014 17:31

              A ceci près que les analyses de Soral sont beaucoup plus affinées, et même si le personnage me déplaît fortement, il faut reconnaître qu’il a mis le doigt sur la situation du sionisme en France avec beaucoup d’acuité. La seule chose qui les rassemble : leur dérangement psychique !


            • CorsairePR CorsairePR 25 avril 2014 14:29

              A mon sens, un philosophe anticipe les évolutions or lui n’a même pas compris que le nationalisme était déjà mort...

              Vous le mettez au pinacle car il s’offusque qu’on brûle des drapeaux alors que la fin des étendards est la meilleure chose qui puisse arriver au monde.


              • Baarek Baarek 25 avril 2014 15:28

                Objectivement ? C’est faux. Ne parlez pas de ceci comme d’une généralité, sachant qu’elle reflète que votre opinion. Il eu été intéressant que vous produisez plus de 3 lignes dans voter commentaire.

                Je sens déjà, et je ne pense pas me tromper, que vous faites un amalgame, une liaison facile entre Nationalisme, Patriotisme, voir même Souverainisme. Savez quelles sont les différences entre les trois ? Si non, n’hésitez pas à re-lire tout ça.

                En revanche je vous rejoint sur ce que vous dites sur les philosophes. Les « vrais » sont des gens qui anticipent le futur mode de pensé, et ce changement prend du temps.


              • CorsairePR CorsairePR 27 avril 2014 12:25

                @Baarek
                La patriotisme n’est que la forme exacerbée du nationalisme ou sa finalité, conduisant généralement aux guerres ou tout du moins au racisme, bref rien d’indispensable dans l’histoire de l’humanité. Quant au souverrainisme, là aussi juste une mise en application des idées précédentes, je laisse aux bureaucrates ce genre de tâches.

                Si on considère les mvts de populations dans les 20 dernières années, nous avons eu un gigantesque exode rural, Paris n’est pas français, Shanghaï n’est pas chinois...Or ce sont justement ces mégalopoles qui vont faire les valeurs du monde de demain. Le rattachement géopgraphique est donc en passe de se faire dilapider, quant au culturel, hormis un JP Coffe avec sa gastronomie et les supporters de foot, il milite justement en un sens humaniste (hormis les bouffons comme Finkielkraut).
                Combien de petits patriotes ont lu Sartre ou Hugo... Je ris rien que d’imaginer la réponse smiley


              • CorsairePR CorsairePR 27 avril 2014 12:28

                @actias : les médias s’amusent à vous faire croire qu’is se réveille pour jsutement inviter le peuple (seul véritable ennemi de l’état) à vite retourner voter pour l’UMPS.

                Son remplacement pour une absence de gouvernance qui aboutit à un capitalisme sauvage bien dirigé depuis la Maison Blanche relève de l’échec je suis d’accord.


              • zetetikos 27 avril 2014 19:19

                @ CorsairePR : vous racontez n’importe quoi !! Premièrement, c’est l’inverse, le nationalisme est la forme exacerbée du patriotisme, et je vous renvoie à la fameuse définition de Romain Gary, « Le patriotisme, c’est l’amour des siens. Le nationalisme, c’est la haine des autres. » Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si les Nazis se disaient donc nationaux-socialistes, et pas patriotes-socialistes...

                De plus, le racisme ne naît pas du nationalisme (la xénophobie peut-être par contre), j’en veux pour preuve le fait que pendant longtemps on ait considéré les Noirs comme des êtres inférieurs, ceci était lié au rapport d’hommes blancs, et donc d’Occidentaux, que nous entretenions avec le reste de l’Humanité, et cela n’avait rien à voir avec les nations en tant que telles ; nous ne pensions pas être supérieurs parce que Français, mais supérieurs parce que Blancs...

                Quant à votre raisonnement sur le souverainisme, il n’a aucun sens pour la simple et bonne raison qu’en-dehors de l’Union européenne qui cherche à établir une sorte de fédéralisme, tous les autres États de la planète vivent le souverainisme, y compris les États fédéralistes comme les États-Unis. En outre, la volonté de plus en plus de territoires d’aller vers l’indépendance (l’Écosse encore maintenant, le Québec, etc.) prouve que ce concept est de plus en plus d’actualité. La dislocation des nations pour aboutir à la naissance de petits territoires clamant leur désir de souveraineté n’aboutit donc pas à la fin du souverainisme ! « Shanghaï n’est pas chinois«  : ahahah smiley Vous n’êtes jamais allé là-bas pour écrire une absurdité pareille !!

                La contradiction ne vous étouffe pas par ailleurs, avec votre dernière phrase, car si le capitalisme est sauvage, alors il n’est pas dirigé depuis la Maison-Blanche, et vouloir plus d’État tout en clamant que le souverainisme est mort et que dernier serait la conséquence du nationalisme (sic), là on est carrément dans le domaine d’une pensée »oxymorique«  ! 

                 

                 


              • Barbet Barbet 25 avril 2014 15:12

                « islam qui se fait trop présent et devant lequel toutes les institutions françaises s’inclinent avec une facilité déconcertante »


                Cette phrase résume la haine qui vous pourrit de l’intérieur.
                Montrez moi quelles sont les institutions de la république dominées par l’Islam.
                Les filles voilées interdites d’écoles apprécieront cette phrase.
                La communauté musulmane qui occupe tous les postes clef de la république des média et des banques ne doit tout cela qu’à l’avancée de l’Islam en France.

                Pffffffffffff !!!! 


                • Allexandre 25 avril 2014 17:26

                  Le protype de ces Français qui ne connaissent même pas leur histoire et prennent au premier degré ce que peut dire un malade comme zemmour. Comme à chaque crise économique, on vous désigne un bouc-émissaire, et vous bêtement vous foncez, sans réfléchir, sans comprendre et surtout sans aucune connaissance historique. Vous êtes pitoyable et manipulable à souhait. Les sionistes auraient tort de se gêner. Quand on a des veaux pareils en face de doi, autant s’en servir comme pions. Votre sentiment de supériorité traduit le degré de votre indigence.


                • Allexandre 25 avril 2014 19:48

                  Il vaut mieux car je pense que le ridicule ne serait pas du côté que vous envisagez. Quant à votre discours anti gauchiste primaire, il est encore plus prévisible que le mien, bien que n’étant pas un gauchiste. Je n’ai pas besoin d’étiquette, seule la compréhension de l’histoire de l’humanité guide ma réflexion. C’est là toute la différence entre nous.


                • Allexandre 26 avril 2014 11:01

                  Quels arguments peut-on apporter à des gens qui se contentent de ressasser des lieux communs dans l’air du temps ? Vous répétez les stupidités du FN et ne regardez pas plus loin que le bout de votre nez. Hauteur d’analyse, 0, vous parlez d’immigration de masse, vous êtes vous posé le pourquoi de cela ? Et l’immigration demasse des Européens au XIXè vous en faites quoi ? Mais ce doit être gauchiste. Ca c’est un argument imparable !!


                • zetetikos 27 avril 2014 06:15

                  @ Actias : je ne crois pas une seconde à ces histoires fantasmées, et profondément antisémites, du Juif complotiste auxquelles vous semblez accorder du crédit, et qui ne se fondent sur aucune source sérieuse, si ce n’est des élucubrations trouvées sur Internet qui tentent de faire croire maladroitement - quoique au vu des commentaires sur cet article, je finis par me poser de sérieuses questions ! - qu’elles proviennent justement de sources sérieuses ! Même si je suis souvent en accord avec Éric Zemmour, écrire que sa pensée serait plus « cohérente et lumineuse » que celle de Finkielkraut me paraît plus qu’étrange ! Il n’y a aucune comparaison entre les deux hommes en matière aussi bien de culture que de puissance de la pensée, quand bien même je le répète Zemmour dise des choses extrêmement pertinentes, surtout à vrai dire sur les clivages politiques. 

                  Ceci étant dit, je suis entièrement d’accord avec tout ce que vous avez écrit par ailleurs.

                  @ Allexandre : vos propos ne semblent guère voler très haut... Je ne vois pas pour ma part de quelle immigration de masse vous voulez parler à propos des Européens... L’émigration, vous voulez dire j’imagine, de ces derniers pour les États-Unis, ou les migrations inter-européennes massives (de certains pays à certains pays seulement, du reste...) à partir du dernier quart du XIXe siècle, et non au XIXe siècle. Et ? Parce que les humains ne sont pas interchangeables (nous ne sommes pas des machines !), comparer un immigré à un autre sans tenir compte des contextes socio-historiques, économiques, culturels, politiques, revient à regarder un chien, un chat, un singe, et un éléphant en disant « bah, ce sont des animaux, non ! » Très pertinent, effectivement ! smiley


                • smilodon smilodon 25 avril 2014 16:21

                  J’adore ce type !....Qu’il soi juif je m’en fous !. Y’a pas de cathos ou de musulmans à son niveau !... C’est
                   un « philosophe » et il fait du bien à entendre !... Actuellement mon souhait le plus vif serait de le rencontrer !.. Ce mec est trop !.... Il me plait, il me parle !...Je l’adore !...Adishatz...Ca fait du bien de l’écouter, de l’entendre !. J’adore ce type !... Je l’adore définitivement !.. Et ses livres me rendent heureux !.....Adishatz.


                  • smilodon smilodon 25 avril 2014 16:23

                    Dans 50 ans il sera l’égal d’un « voltaire » !./.. Ce type est trop !.. Et surtout trop en « avance » !...Adishatz.


                    • smilodon smilodon 25 avril 2014 16:29

                      Dans 50 ans il sera l’égal d’un « voltaire » !./.. Ce type est trop !.. Et surtout trop en « avance » !...Adishatz. Longue vie à vous Monsieur !..


                      • smilodon smilodon 25 avril 2014 16:32

                        J’adore ce mec !.. Y’a dans son phrasé ce qui déborde de son coeur !... L’humanité !... Cette « humanité » qui manque à tous les autres, lui il l’a ! Adishatz.


                        • Allexandre 25 avril 2014 17:28

                          Allez donc voir le sens du mot humanité. Après on pourra discuter. Quant à comparer Voltaire avec ce schizo, c’est que vraiment vous n’avez pas lu Voltaire, ou pis, vous ne comprenez pas ce que vous lisez !


                        • MuslimADieu MuslimADieu 25 avril 2014 17:30

                          Il semble que certains français de souche ont la nette impression que le philosophe que l’on veut leur fourguer prête allégeance à un autre pays.



                          • legrind legrind 25 avril 2014 17:46

                            C’est vrai que les médias, journalistes, éditocrates, associations... en ont pas fait des tonnes sur l’agression sexuelle, viol à caractère raciste, d’une jeune française à Evry « parce-que les françaises sont des putes  » (selon les agresseurs, des jeunes). Étonnant non ?


                            • scylax 25 avril 2014 18:18

                              D’autant qu’en même temps, il y avait l’affaire du viol dans un lycée catholique qui a été repris pendant trois jours dans tous les médias.

                              C’est tout à fait éclairant, ce choix : entre deux viols, on met en avant celui commis a priori par d’affreux cathos, français de souche sans doute (donc pas raciste)

                            • MuslimADieu MuslimADieu 25 avril 2014 19:05

                              on remontant la source de cette info, j’ai trouvé que le site français de souche est administré à partir du canada et que la répartition géographique de ses visiteurs est bizarre, avec beaucoup trop d’USA à mon goût.

                              enfin, je me fais peut être des idées. Tout ça à cause d’un auteur qui utilise n’importe comment l’expression « français de souche ».


                            • Dwaabala Dwaabala 25 avril 2014 18:33
                              Mauvais sang


                                J’ai de mes ancêtres gaulois l’œil bleu blanc, la cervelle étroite, et la maladresse dans la lutte. Je trouve mon habillement aussi barbare que le leur. Mais je ne beurre pas ma chevelure.
                               Les Gaulois étaient les écorcheurs de bêtes, les brûleurs d’herbes les plus ineptes de leur temps.
                               D’eux, j’ai : l’idolâtrie et l’amour du sacrilège ; oh ! tous les vices, colère, luxure, magnifique, la luxure ; surtout mensonge et paresse.
                               J’ai horreur de tous les métiers. Maîtres et ouvriers, tous paysans, ignobles. La main à plume vaut la main à charrue.


                              • Pere Plexe Pere Plexe 25 avril 2014 19:59

                                « au profit d’un égalitarisme social nivelé par les concepts bien-pensants de la tolérance... »
                                Quelle honte en effet...
                                On ne chantera sans doute jamais suffisamment les louanges de l’intolérance !
                                Le plus souvent au mesquin prétexte que cela engendre guerres et massacres .
                                Bien futile argument.
                                Quant à l’égalitarisme sociale il n’est fort heureusement jamais sorti du stade de concept dans un monde ou les 67 plus riches ont autant que la moitié de l’humanité.
                                Merci de ce salutaire ode à la « mal pensance », et de votre panégyrique à son grand prêtre.


                                • cathy30 cathy30 26 avril 2014 00:22

                                  MDR, les arabos-musulmans nous disent qui l’ont doit aimer ou pas !


                                  • cathy30 cathy30 26 avril 2014 00:25

                                    Au fait, ne vous fiez pas à ce que disent les médias sur le nombre des chrétiens en France, il y en a plus que vous croyez, vous seriez surpris. Je ne parle pas de catholiques mais de chrétiens.


                                    • cathy30 cathy30 26 avril 2014 00:34

                                      Il y a en France 60% de chrétiens, et dans le monde plus de chrétiens que de musulmans. Une vague de christianisme également dans les pays du maghreb.


                                      • Allexandre 26 avril 2014 12:43

                                        Ma pauvre Cathy, vous devriez arrêter de’intervenir. Vous ne comprenez ni ne savez grand choses. Et à part des lieux communs, vous n’avez rien à dire d’intéressant.


                                      • berry 26 avril 2014 00:41

                                        « Finkielkraut, le philosophe des français de souche. »

                                        La place est libre puisque les vrais français de souche n’ont pas le loisir de s’exprimer dans les médias, ils ont juste le droit de se faire insulter à longueur d’année.

                                        Un philosophe sioniste pour représenter les français de souche... nos maîtres nous font encore une mauvaise blague...

                                        Et pourquoi pas un musulman sioniste pour représenter les musulmans ?

                                        Tout est possible, il suffit de demander. On peut vous proposer le faux imam de Drancy, Hassen Chalghoumi. La nouvelle vedette de nos petits écrans, montée en épingle par des sponsors qui restent soigneusement dans l’ombre.

                                        Toujours ce goût du monopole chez les sionistes, encore et encore, de plus en plus, sans jamais s’arrêter....

                                        Qu’est-ce que vous voulez d’autre ? des écologistes sionistes ? Y’en a ! 
                                        Des socialistes sionistes ? Y’en a ! Des gaullistes sionistes ? Y’en a !

                                        Ce système est pourri jusqu’à la moelle.

                                         


                                        • Innsa 26 avril 2014 09:12

                                          @ l’auteur :

                                          "Je suis né à Paris mais je suis le fils d’immigrants polonais. Mon père a été déporté de France. Ses parents ont été déportés et ont été assassinés à Auschwitz. Mon père est rentré d’Auschwitz en France. Ce pays mérite notre haine : ce qu’il a fait à mes parents fut bien plus violent que ce qu’il a fait aux Africains."

                                          Alain Finkielkraut dans un entretien accordé au journal israélien Haaretz : 17 novembre 2005


                                          • King Al Batar King Al Batar 26 avril 2014 14:19

                                            Merci pour cette intervention, qui est l’observation la plus intelligente qui m’ait été donnée de lire parmis tous les posts.
                                            Vous avez raison de faire cette observation.
                                            Mais vous savez d’ores et déjà ce que l’on vous répondra. L’argument de base de n’importe quel raciste... « Je généralise avec les juifs parce qu’il n’y a pas pir raciste que les juifs ».
                                            C’est assez drole et facilement vérifiable de constater que tous les racistes, quel que soit celui qu’il haisse, justifient leur racisme par le racisme de celui qu’ils detestent. Ils se défaussent de leur responsabilité d’être raciste sur le dos de leur victime en disant que s’ils les deteste c’est de leur faute. Et cela fonctionnne tout aussi bien avec ceux qui deteste les juifs, qu’avec ceux qui deteste les musulmans, qu’avec ceux qui deteste les francais.


                                          • prolog 26 avril 2014 10:16

                                            Identité française implique une opposition avec ceux qui n’ont ou n’auraient pas une identité française. Si on insiste dessus, ca implique des intérêts différents donc une guerre latente... c’est simple quand même.
                                            On peut faire la même avec tous les groupes humains que les humains ont fabriqué (religions notamment).

                                            Faire des groupes (et les prendre au sérieux) c’est faire la guerre et vous, l’auteur, vous faites des courbettes devant un gars qui appuie sur ces différences, crée des groupes et qui est donc éminemment guerrier.

                                            Par contre, avec un article comme ca, vous avez peut être une chance de l’épouser... rincez-vous la bouche avant de poser la question quand même ;)


                                            • zetetikos 27 avril 2014 05:53

                                              Encore un commentaire qui nie le réel au profit d’un fantasme ! On ne fait pas des groupes (sic), on met des mots sur les choses pour pouvoir les définir, et ainsi avoir des références langagières et signifiantes communes ! Sinon, ce que vous appelez de vos voeux, est une forme de retour à l’animalité, puisque même dans les sociétés les plus primitives on définit les choses et les humains, c’est ce qui permet de s’exprimer...


                                            • prolog 27 avril 2014 09:23

                                              @zetetikos : le classique du gars qui réfléchit à l’envers, en partant de la fin.
                                              C’est un fait que les groupes sont la base de la guerre, vous ne le voyez peut être pas. L’oeuf ou la poule, peu importe, je suis d’accord. Les groupes existent actuellement et les renforcer par des mots, donc des généralisations, accélère la guerre...c’est un fait aussi.
                                              Je ne prône rien, surement pas la fin des groupes, ce qui serait idiot. Par contre, la compréhension du phénomène (regarder notre propre recherche de sécurité à travers les groupes) dissoudra naturellement l’intérêt qu’on porte à ces groupes.

                                              Ca veut dire quoi « retour à l’animalité » ? Ca semble être un mot clé pour quelqu’un qui est juste « pas d’accord » :).


                                            • prolog 27 avril 2014 09:28

                                              @zetetikos : c’était sans doute pas clair mais je ne nie pas les groupes. Je constate que plus on leur donne d’importance (notamment par des mots), plus les protagonistes ont tendance à se taper dessus.


                                            • zetetikos 27 avril 2014 18:34

                                              @ prolog : donc, si on suit la logique de votre raisonnement implacable, les groupes existent, mais les gens ne savent pas qu’ils en font partie ! Ils ne le savent que lorsqu’on leur dit... Alors, oui, effectivement, s’il n’y avait pas eu des prophètes pour donner des religions, personne aujourd’hui sur Terre ne se dirait Catholique, Musulman, Protestant, etc., mais vous conviendrez que la logique ne s’applique plus au XXe siècle !!! Les Français n’ont pas besoin qu’on leur parle des Musulmans pour qu’ils les découvrent...

                                              Encore une fois, vous inversez la logique : les mots seraient préexistants aux choses, alors que ce sont ces dernières qui préexistent, et ensuite on les dénomme. Votre raisonnement consiste donc à refuser de nommer les choses - les groupes en l’occurrence - en pensant que ça va les faire disparaître ! Supprimons le mot race de la Constitution, plus de racisme, puisque l’origine de celui-ci n’a plus de nom ; on ne le désigne plus ! Vous vivez dans un monde merveilleux, fait je présume de superbes licornes ! Le réveil va être rude. Animalité, oui, parce qu’un monde où on ne définit plus les choses par le langage, c’est la régression de l’Homme au stade de l’animal...


                                            • zetetikos 27 avril 2014 18:47

                                              Au fond, ce que vous reprochez à Alain Finkielkraut est de désigner les choses, de parler du réel, de dire ce que les gens vivent et ressentent ; refus de désigner qui est le propre de la logique totalitaire... En effet, les régimes de ce type - surtout les soviétiques - pratiquaient cette logique, toujours teintée du reste de révisionnisme historique, ce que l’on fait aujourd’hui d’ailleurs en clamant par exemple - je ne dis pas que c’est ce que vous faites - que les Français de souche n’existent pas, comme si les autochtones en France n’avaient jamais été là ; la France était vierge d’humains, jusqu’aux migrations commencées à la fin du XIXe siècle, voire - c’était écrit dans le dernier rapport grotesque sur l’intégration - avait une dimension « arabo-orientale », car il est vrai que les Musulmans vivent en France depuis des siècles et des siècles, construisant notre identité culturelle (qui n’existe pas, rappelons-le !)...


                                            • prolog 28 avril 2014 10:13

                                              oulah, vous partez loin et vous allez sur des conclusions que je n’ai pas formulées du tout.
                                              Encore une fois, les races, les groupes existent actuellement. Aucune doute là dessus, aucune envie de les supprimer de ma part.
                                              En revanche, on a tout un tas de mécanismes pour les renforcer (dont par exemple les écrits du bonhomme de l’article). Et chaque fois qu’on renforce un groupe on renforce la guerre entre les groupes.

                                              En aucun cas je ne pense qu’on peut en déduire une solution au problème.

                                              Je ne sais pas si vous avez déjà été dans ce cas de figure, ca m’étonnerait vu que vous semblez sauter très vite aux conclusions mais voilà comment je pense que ca se passe :
                                              Une fois qu’on a cerné un problème, ses tenants et aboutissants, sans juger, sans condamner, la solution vient à nous, de manière indéniable et sans compromis. Mais ca se passe pas dans le cerveau... c’est bizarre mais il faut essayer.

                                              Pour notre cas, qui a existé en premier du mot ou du groupe importe peu, ca dépend des cas d’ailleurs. Le lien étroit entre groupe et guerre est important. Le lien entre groupe et recherche individuelle de sécurité est la clé.

                                              à plus


                                            • zetetikos 1er mai 2014 05:06

                                              Encore faut-il que tout le monde soit d’accord sur le problème en question ! smiley

                                              Je ne pense pas du tout qu’Alain Finkielkraut fasse ce que vous lui reprochez : chercher à mettre en valeur un groupe ou à dresser les groupes les uns contre les autres. Bien au contraire, tout son argumentaire est justement de dénoncer la montée des communautarismes, et il a d’ailleurs été l’un des premiers Juifs à avoir contesté l’usage abusif qui était fait de la Shoah par la communauté juive (dans son livre Le Juif imaginaire qui date de 1981 !).

                                              Il constate une dérive de la société française, incarnée pour lui par le multiculturalisme, la faillite de l’école, et un relativisme de mauvais aloi. je partage totalement ce constat, et constate à mon tour qu’alors que nous n’avons jamais autant parlé du vivre-ensemble, celui-ci ne s’est jamais aussi mal porté. Les attaques dont Alain Finkielkraut fait l’objet en permanence reviennent pour moi à attaquer celui qui dit une vérité dérangeante pour cette raison même. C’est l’illustration du proverbe chinois « Lorsque le Sage montre la lune, le sot regarde le doigt. »


                                            • izarn izarn 26 avril 2014 10:59

                                              On peut se poser des questions sur la défense du « français de souche », par A.F.
                                              Car, il me semble que ni son père ni sa mère ne sont français, pas plus que francophone !
                                              Il curieux qu’il n’ai jamais compris l’humour d’une Dieudonné parfaite reçu 5/5 par les « français » de souche, ou francophones depuis plus d’un siècle, comme les africains de nos ex-colonies.
                                              Dieudonné est par contre quasiement un français de souche de par sa mère, puis aussi culturellement par son père francophone.
                                              La démonstration de Finkielkraut va curieusement dans sa direction, mais contradictoirement à l’inverse de ses arguments !
                                              Lui le pseudo français rentre à l’Académie, tandis que Dieudonné est hai, insulté, poursuivi.
                                              De fait on se demande qui sont ces pseudos patriotes qui agitent le drapeau bleu blanc rouge, et qui ne comprennent finalement rien à la culture française...


                                              • izarn izarn 26 avril 2014 11:11

                                                Il faut remarquer aussi la preuve, et l’étrangeté par rapport à A.F., le fait que Dieudo fait rire et est meme soutenu (en cachette) par des militaires !
                                                J’aimerai connaitre les militaires qui lisent A.F....
                                                Ca doit pas etre la foule, à part les espions de Tsahal infiltrés...


                                              • Brice Bartneski bartneski 28 avril 2014 11:28

                                                « copié-collé » d’un article en modération :

                                                Lettre ouverte d’un Africain à l’académie française

                                                Ainsi donc, Alain Finkielkraut recueille les suffrages de l’académie française, il ne manquerait plus qu’on lui fasse une haie d’honneur lors de son intronisation.

                                                Ainsi donc, l’institut créé par Richelieu sous le règne de Louis XIII, accueille en grandes pompes la jactance nauséeuse et mortifère du philosophe et ses sempiternelles vomissures islamophobes. L’outrance et la parole raciste récompensées par une tourbe malfaisante. Qui l’eût cru ? Finkielkraut, élevé au rang d’immortel, L’académie signe de facto, l’écrasante défaite de l’antifascisme et fait le lit du front national en portant aux nues ce vieux goujat, ce croquemitaine, détestable, pourfendeur invétéré de l’islam, et sempiternel contempteur des africains subsahariens.

                                                Il s’est trouvé seize membres de l’académie française pour élire un vieux réactionnaire détestable

                                                Qui suinte la haine arabo-négro-musulmane.

                                                Il s’est trouvé des âmes basses, aurait dit Zola, des esprits de malfaisance sociale pour honorer l’idéologie Fangeuse et xénophobe de Finkielkraut, et récompenser sa rhétorique haineuse

                                                Il s’est trouvé d’inhumains individus, des intellectuels de très mauvaise composition, pour couronner perfidement le philosophe hystérique qui inocule par l’entremise de sa rhétorique putride, de son verbiage douteux, et de ses écrits viscéralement rances, le virus de la haine dans les veines des français.

                                                L’histoire retiendra que seize membres de l’académie Française collaborèrent moralement avec Finkielkraut dans son entreprise de diabolisation de l’islam et des immigrés de l’Afrique subsaharienne. L’histoire nous rappelle que toute entreprise collaborationniste se heurte généralement à la résistance.

                                                Il s’est trouvé huit académiciens d’une impérissable beauté humaine, pour rejeter l’infâme candidature du tyrannique Finkielkraut, l’antiracisme et l’acceptation de l’autre étant chevillés au corps de ces académiciens anticonformistes.

                                                Il s’est trouvé huit belles âmes pour dire non à la négrophobie, non à la l’islamophobie, non à l’arabophobie, et enfin non à l’ensauvagement des esprits malléables.

                                                Finkielkraut rêve d’une France blanche-blanche-blanche repliée sur elle-même et insensible à la détresse de l’Afrique subsaharienne qu’elle a pourtant pillée avec le concours de plusieurs pays européens. Le philosophe haineux vomit cette France black-blanc-beur, il veut la dissoudre, l’annihiler et souhaite qu’elle s’enlise dans les sables mouvants de l’histoire et renaisse blanche-blanche-blanche, ragaillardie, et enfin débarrassée de sang mêlé impur. Le philosophe à l’idéologie raciste minimise les crimes contre l’humanité perpétrés par les Européens en Afrique : L’esclavage, la traite négrière, la colonisation, le code de l’indigénat, les travaux forcés.

                                                Dans une diatribe à l’endroit de l’Afrique, le philosophe haineux se fend d’une déclaration négationniste nauséeuse : ’’ La France n’a fait que du bien en Afrique ’’

                                                Au diable donc les millions de morts sans sépulture de l’esclavage transatlantique, au diable les millions de morts de la colonisation Française en Afrique, au diable les 17000 indigènes Congolais morts du travail forcé dans les années 20, qui construisirent à la force du poignet , la ligne de chemin de fer Congo Océan reliant Brazzaville à Pointe noire. Pour un kilomètre de chemin de fer construit, trente-huit indigènes Congolais périrent dans des conditions épouvantables.

                                                Mais Finkielkraut n’en a cure, ces morts sans sépulture ne comptent pas. Ils ne doivent surtout pas noircir le bilan catastrophique de la France en Afrique. Césaire écrivit pourtant ces mots d’une vérité absolue dans son ouvrage ’Discours sur le colonialisme’’ L’Europe est comptable devant la communauté humaine du plus grand tas de cadavres de l’histoire’’

                                                L’histoire de France ne comporte pas de part d’ombre pour notre philosophe détestable, elle comporte uniquement une part de lumière sauf quand il s’agit d’évoquer la shoah et le régime collaborationniste de Vichy dirigé par Pétain et Laval. Césaire, avait vu juste :

                                                ’’ Les pulsations de l’humanité s’arrêtent aux portes de la négrerie’’ cahier d’un retour au pays natal

                                                Le verbiage putride du philosophe préféré des médias est d’une extrême dangerosité. Il n’a qu’une obsession : La diabolisation des noirs et des arabes. Dans une interview au journal Israélien Haaretz, il déclara, la bouche dégoulinante de vomissures nègrières : ’’ Les gens disent que l’équipe nationale française est admirée par tous parce qu’elle est black-blanc-beur. En réalité, l’équipe nationale est black-black-black, ce qui en fait la risée de toute l’Europe ’’

                                                Le Philosophe haineux vomit cette équipe de France Black-black-black. J’entends la voix d’outre-tombe de Césaire tancer cet abominable croquemitaine élu éhontément à l’académie Française

                                                ’’ Et quand je parlais de négritude, c’était pour répondre précisément aux racistes qui nous considéraient comme des nègres, autrement dit des riens. Et bien non ! Nègre vous m’appelez et bien oui, nègre je suis. N’allez pas le répéter, mais le nègre vous emmerde ’’

                                                Je me remémore aussi ces vers de Léon Gontran Damas exhortant la négraille à se révolter face aux injustices subies : ’’ Qu’attendons-nous les gueux, les peu, les rien, les chiens, les maigres, les nègres, les fous, pour jouer aux fous, pisser un coup, tout à l’envie contre la vie stupide et bête qui nous est faite…à nous les nègres’’

                                                Il est temps que le croquemitaine Finkielkraut cesse d’attiser les haines et de lepéniser les esprits des français.

                                                Le philosophe mû par une détestation pathologique du musulman, voit les boucheries Hallal partout et omet volontairement d’évoquer le pullulement des boucheries Casher. Dans les années 30, un journal ’’Je suis partout ’’ véhiculait insidieusement la pensée antisémite dans l’opinion publique française. Alain Finkielkraut, véritable réincarnation du journal fangeux ’’ je suis partout ’’ répand son idéologie islamophobe dans tous les médias. Il est effectivement partout, à la télévision, à la radio où le philosophe haineux s’est fendu d’un mensonge éhonté et effronté affirmant péremptoirement : ’’ Je pense simplement qu’aujourd’hui il y a une crise de l’intégration : en témoigne, par exemple, la situation d’une ville comme Villers-Cotterêts. Tout le monde s’inquiète de la voir passer au Front national : la boucherie est devenue halal.’’

                                                Il n’y a jamais eu de boucherie Halal à Villers-Cotterêts, un mensonge de plus du philosophe haineux pour attiser les haines et faire peur aux Français. Finkielkraut cloue l’islam au pilori, au gré de mensonges répétés dans l’unique but d’instiller le venin de la haine des musulmans dans les veines des Français. Ironie du sort, le philosophe d’obédience hébraïque utilise les méthodes Hitlériennes pour parvenir à ses fins « Plus le mensonge est gros, plus il est accepté »... « Avec des mensonges adroitement répétés, on peut faire croire que le ciel est la terre, et que la terre est le ciel » « J’utilise la raison pour le petit nombre, et l’émotion pour le grand nombre »

                                                Le philosophe haineux voue les arabes et les noirs aux gémonies, il les désigne systématiquement à la vindicte populaire, il sème la terreur comme Robespierre en 1793 oubliant que le gouvernement de la terreur est anachronique. Sa rectitude Robespierrienne ne sert donc à rien. Les têtes des Français ne tomberont plus comme des ardoises, un soir d’orage pour reprendre le beau mot de Fouquier-Tinville, l’accusateur public du tribunal révolutionnaire de triste mémoire. Finkielkraut, l’ accusateur public des temps modernes s’était fendu de deux diatribes assassines, toujours à l’endroit du même public : Les arabes et/ou les noirs.

                                                ’’Les antillais sont des assistés’’ ’’Si le niveau à l’éducation nationale a baissé c’est à cause des enfants immigrés"

                                                L’islam, les immigrés africains, et les antillais sont des statues de boue élevées par le philosophe haineux pour servir de cible à ses vomissures.

                                                L’élection de Finkielkraut à l’académie Française est donc une honte et un déshonneur pour l’académie Française, qui s’est couverte d’opprobre en l’élisant.

                                                J’accuse l’académie Française de contribuer moralement au délitement des valeurs humanistes de la France en accordant ses faveurs à Finkielkraut qui d’un appétit Pantagruélique se nourrit d’islamophobie, se repaît de négrophobie et ne veut pas sortir de table.

                                                J’accuse l’académie française d’intelligence avec l’ennemi autoproclamé de l’antifascisme : Le croquemitaine Alain Finkielkraut, dont la haine pathologique arabo-nègro-musulmane est obsessionnelle

                                                J’accuse l’académie française de collaboration morale avec l’ennemi invétéré de l’islam, le sulfureux et détestable négationniste Alain Finkielkraut pour qui la France n’a fait que du bien à L’Afrique.

                                                J’accuse Alain Finkielkraut d’être le fossoyeur de cette France fraternelle, accueillante et xénophile. Cette France dont le triptyque liberté, égalité, fraternité est inscrit en lettres de marbre sur tous les frontons des mairies.

                                                J’accuse Alain Finkielkraut d’instiller impunément le venin du rejet arabo-négro-musulman dans les veines des Français à travers ses écrits fangeux, et par le truchement de sa parole moralisatrice et rance, dans les médias publics où il est étrangement omniprésent.

                                                J’accuse Alain Finkielkraut de catégoriser les Français, de les dichotomiser de manière abjecte en désignant les uns : Français de souche, les autres : Français issus de l’immigration ou issus des banlieues. En outre, le philosophe haineux se gausse que ces jeunes issus des banlieues parlent français avec un accent.

                                                Quant aux gens que j’accuse aurait poétiquement dit Zola, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n’ai contre eux ni rancune ni haine. Ils ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Je n’ai qu’une passion, celle de la lumière, au nom de l’humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée face à la scélérate élection de Finkielkraut n’est que le cri de mon âme.

                                                Patrick Ewonde, Ingénieur Système informatique


                                                • zetetikos 1er mai 2014 06:51

                                                  Quel texte indigent ! Vous semblez confondre grandiloquence et éloquence ! Vous devriez épouser Christiane Taubira ; vous formeriez un couple parfait de « précieux ridicules » que n’aurait pas renié Molière !

                                                  Je passe sur vos délires préformatés, ressassant jusqu’à la lie le discours des anti-Finkielkraut primaires, dont l’absurde litanie - Dieu merci ! - se charge seule de son propre discrédit. Si vous êtes ingénieur Système informatique, eh bien vous devriez vous appliquer à vous-même vos compétences pour améliorer votre système de pensée, fort défaillant ! Comme aurait pu dire ma professeure de Philosophie en khâgne, « vous tournez en rond avec les mots sans en comprendre le sens »...

                                                  Je passe aussi sur les propos - sans source sérieuse bien sûr, comme c’est commode ! - que vous prêtez à A. Finkielkraut, résultats de vos fantasmes délirants victimaires ; ils ne méritent pas qu’on s’y attarde plus que simplement pour faire votre analyse (au sens psychanalytique du terme).

                                                  Toutefois, votre position victimaire, pur produit de consommation de la doxa commune, mérite qu’on s’y attarde un instant. Premièrement, la théorie. Il semble particulièrement grotesque - et montre du reste votre faible pertinence intellectuelle - de faire de Finkielkraut l’incarnation du Français de souche luttant contre ces pauvres immigrés africains (du Nord ou subsahariens), alors qu’il est lui-même issu de l’immigration, et dont les parents ont connu bien pire que la colonisation, l’équivalent de ce qu’a pu être l’esclavage à travers les camps de concentration, pire même, l’esclavage n’étant évidemment pas un génocide (on ne souhaite pas voir disparaître ceux que l’on exploite !). J’ose espérer - mais j’en doute fortement dans le même temps ! - que vous connaissez la définition de ce dernier (vous vous renseignerez dans un dictionnaire au besoin...).

                                                  Deuxièmement, les faits. Votre tentative - si commune... - de faire la comptabilité des morts du passé pour mieux permettre la victimisation des fausses « victimes » du présent est, à la fois, abjecte moralement (qu’il faut avoir peu de respect de ceux-là pour les exploiter une seconde fois !), et pathétique historiquement. En effet, puisque vous semblez apprécier la logique comptable, mathématique, alors comptons : 6 millions de Juifs exterminés avec la volonté précise de le faire en quelques années seulement, 11 millions d’esclaves liés à la traite occidentale sur plusieurs siècles. Puisqu’en mathématiques, vous n’ignorez pas que la proportionnalité est importante, vous apprécierez laquelle des deux horreurs fut la plus « massificatrice ».

                                                  En outre, vous passez sous silence (ce qui est si fréquent car cela évite bien commodément aux Africains de se regarder en face puisque vous aimez vous auto-dénommez un Africain) la traite intra-africaine qui, elle, a fait 14 millions d’esclaves (et qui est à l’origine même de cet esclavage du reste), ainsi que la traite arabo-musulmane, la plus volumineuses des trois, avec 17 millions d’esclaves (et qui perdura le plus longtemps, jusqu’en 1920). Vous ignorez aussi sciemment que seul l’Occident, par souci humaniste justement, a condamné son propre esclavagisme, là où les Musulmans n’en pipent pas mot, et où les Africains subsahariens continuent à le pratiquer allègrement ! À l’inexactitude de vos propos, vous ajoutez en plus la lâcheté ! Quelle belle âme, en effet, que la vôtre !

                                                  De plus, la confusion que vous entretenez volontairement entre esclavage et colonisation appartient tout simplement à l’ordre du révisionnisme historique. Non la France n’a pas pillé l’Afrique, elle l’a développé ; tout ce que l’Afrique a d’infrastructures un tant soit peu modernes, elle le doit aux Occidentaux ! Que vous le vouliez ou non, peu importe, la réalité est là ! L’éducation, elle nous la doit. Les infrastructures sanitaires et de santé, elle nous les doit. Pas de chance pour vous, j’ai vécu 2 ans en Côte d’Ivoire avant les troubles ; je sais de quoi je parle ! Je ne brasse pas des clichés pour faire pleurer dans les chaumières...

                                                  Vous sautez commodément, encore une fois, à des conclusions spécieuses tentant d’assimiler esclaves d’il y a un siècle et demi (!) avec des populations immigrées ou issues de l’immigration qui bénéficient des avantages à vivre dans un pays développé comme la France. Ce n’est pas un hasard, du reste, si les Africains si malheureux ici - n’est-ce pas ?! - se précipitent tous pour y vivre !

                                                  Vos attaques contre A. Finkielkraut sont d’autant plus pitoyables que vous faites exactement ce dont vous l’accusez et que lui, par contre, ne fait pas : vous abusez de l’émotion et du sentimentalisme le plus dégoulinant, lorsque lui use de la Raison. Les Africains qui émigrent en France aujourd’hui ne sont en rien comptables des horreurs du passé commises non pas sur leurs ancêtres, mais sur les ancêtres de ceux que leurs ancêtres à eux vendaient aux Occidentaux. Effectivement, la traite transatlantique n’a pas eu de revenants en Afrique, donc les Africains d’aujourd’hui ne peuvent descendre que de ceux qui vendaient leurs frères. Oui, A. Finkielkraut constate le délitement de la culture française sous les coups de boutoirs d’immigrés qui ne cessent de se communautariser. Non, la France n’est pas black-blanc-beur ; elle ne l’a jamais été, et ne le sera pas demain non plus, car les Français ne veulent pas de cette nation balkanisée et réduite au rang d’auberge espagnole pour populations en manque d’argent qui préfèrent fuir plutôt que d’affronter la situation dans leurs pays d’origine. Le réveil n’en sera que plus rude pour tous ceux qui, aujourd’hui, refusent de prendre acte du fait que la population autochtone a dit stop à cette colonisation qui ne dit pas son nom.

                                                   


                                                • zetetikos 1er mai 2014 07:17

                                                  J’ajoute que j’ai bien conscience que bartneski n’est pas Patrick Ewonde, mais puisque l’article a été publié ici, je l’ai donc commenté ici aussi, en m’adressant toutefois directement à son auteur...


                                                  • Brice Bartneski bartneski 1er mai 2014 12:30

                                                    @zetetikos

                                                    Merci de ne pas faire l’amalgame. En effet, cet article n’est pas de moi. J’ai décidé de le faire paraître en commentaire car il a été refusé en modération. Ayant approuvé l’article « pro » Finkielkraut, l’équilibre est rétabli.

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