Martha : « Les débris tombant plus rapidement que la chute libre ». cela fait parti des preuves à charge : quel est le phénomène physique qui explique cette accélération vers le bas de pans de murs métalliques, qui leur fait dépasser celle de la chute libre, si ce n’est des explosions violentes ou des combustions qui leur donnent cette impulsion vers le bas. »
Je voulais dire que les débris tombaient plus rapidement que les Tours Jumelles. C’est toi qui t’empresse d’interpréter ça en « que la chute libre ».
« Expliquez-nous la forme parabolique des projections d’énormes pans de mur en acier, »
La trajectoire parabolique est tout simplement la conséquence d’une vitesse initiale non nulle à l’horizontale et de la gravité.
« de plus de dix tonnes et pourquoi celles-ci ont pu atteindre des distances de 150 à 200 mètres. »
La force d’éjection s’explique par la compression de l’air lors de l’empilement des étages, et sous la pression des centaines de milliers de tonnes de gravats des étages supérieurs.
« Ou bien la présence d’os humains sur le toit d’autres immeubles alentours, situés à des distances au moins aussi importante ? »
« Ne trouvez-vous pas étrange que ce jour-là TROIS tours ultra-solides, à structure en acier, construites avec tout le sèrieux possible, aux normes américaines, conçues dans le cas des deux premières pour résister au choc d’un avion de ligne, se soient écroulées si vite, soit disant à cause d’un incendie d’hydrocarbure et de papiers de bureau ? »
« Et en plus, jusqu’en bas et à la vitesse de la chute libre ! »
- à 01:04, un gros débris tombant plus vite que la tour, - une durée totale de chute de la tour nettement supérieure à soi-disant 10 s, - de 01:16 à 01:20, le coeur du WTC1 tenant encore debout, hélas par pour longtemps, mais qui dément la théorie selon laquelle il aurait été sapé par des explosifs.
« Du jamais vu : ni avant ni après ! »
Du jamais vu non plus : des avions de la taille d’un Boeing 767 se crashant à grand vitesse dans des hautes tours à structure métallique.