Bonsoir eau du robinet,
J’habite à Montpellier, or les conférences que vous annoncez sont toutes dans la région parisienne. Et puis, je suis en pleine campagne électorale.
Ensuite, sans être imbu de ma personne, il me semble qu’un entretien d’une demi-heure au sein de la permanence de l’UPR serait d’une autre valeur, pour l’un comme pour l’autre, qu’un truc entre deux portes lors d’une conférence, où j’imagine qu’à chaque instant M. Asselineau serait sollicité par d’autres personnes pour des raisons diverses et certainement aussi importantes que les miennes. Bref, l’entretien ne serait pas aussi constructif et prometteur que ce que j’en attends.
Je l’ai écrit : ma proposition de rencontre reste sur la table. Nous verrons bien ce que cet article entrainera dans la maison. Je l’ai un peu écrit à dessein, figurez-vous, et ne vais pas passer mon temps à demander ce que je n’ai pas obtenu en plus de six mois de temps. Parce que, croyez moi, j’ai insisté. Si vous avez une idée de l’identité de celui que j’appelle Laurent, contactez-le.
Et puis je vais vous dire une chose : le coup de l’agenda chargé, on ne me le fait plus. Quand on veut, on peut. Certes, ma demande n’était pas explicite, je sollicitais une rencontre, tout simplement. Maintenant, elle l’est, et à mon avis, cet article lui sera transmis. La balle est donc dans son camp.
Et ma demande, c’est une rencontre avec François Asselineau en personne, accompagné ou non d’un de ses conseillers, mais c’est lui que je souhaite rencontrer.
Voilà.
Merci de votre réponse, et, vous l’avez compris, les thèses de l’UPR sont maintenant miennes.