Bonsoir Martha,
Vous écrivez :
(...)Le sujet que vous abordez-là est d’importance mais il faut le considérer actuellement secondaire devant l’urgence.(...)
Non, il n’y a pas de sujet accessoire, il y a des sujets dont on n’estime pas bien la portée.
Le coup de « aller à l’essentiel » c’est en gros un enterrement du sujet, qui moi m’intéresse et qui ne me fera jamais voter pour un parti, même l’UPR, tant que la question linguistique telle que je la voie, et telle que je l’expose dans mes conférences ne figurera pas en bonne place dans le programme dudit parti.
Ce point n’est absolument pas négociable, et figurez-vous que si F. Asselineau me permettait de m’exprimer devant un aréopage de cadres de l’UPR, j’ai une petite idée des réactions au mieux de scepticisme, au pire négatives, que mon intervention provoquerait. Réactions qui ne seraient en fait que la confirmation de l’ignorance ou de la non prise de conscience de ces problèmes. Il n’y a qu’à lire quelques réactions ici et là parmi les commentaires.
Désolé de vous décevoir.
Cordialement.