@ Chems Eddine Chitour
Boko Haram n’est nullement une « expression des damnés de la Terre », mais tout simplement l’expression vivante de ce qu’est l’idéologie mahométane.
Lorsque Boko Haram enlève ces centaines de jeunes filles, il ne fait qu’imiter consciencieusement le comportement immonde et répugnant qu’adopta naguère le « prophète » de l’islam .
Lorsque l’on regarde
la vidéo du leader de Boko Haram, la première image qui vient à l’esprit en observant ce tribun halluciné, c’est l’image de Mahomet. Remplaçons le treillis et la Kalachnikov de ce cinglé par une ténue de bédouin et un cimeterre, éclaircissons lui mentalement la peau, et ce que l’on voit grâce à ce petit effort d’imagination, c’est le portrait craché de Mahomet haranguant ses hordes d’adeptes fanatisés, il y a plus de 1400 ans.
Il est particulièrement remarquable de constater l’absence quasi-totale de réaction des autorités musulmanes, françaises ou autres, des Tarik Ramadan et Youssouf al Qaradawi et autres leaders de l’islam, ainsi que le silence total des gouvernements des grands pays musulmans concernant cet enlèvement collectif. Ce silence collectif est tout simplement assourdissant , au point qu’on a même pu entendre il y a quelques jours des journalistes de France Inter s’en émouvoir ! ( Et pourtant, cette radio nationale censée être laïque passe son temps à se faire le thuriféraire de la religion mahométane, comme si l’islam était devenu la religion officielle de la République...)
Il n’y a en réalité rien d’étonnant à ce silence collectif : condamner les actions de Boko Haram reviendrait pour tous ces gens à remettre en question leur « prophète » et les monstruosités dont il se rendit jadis coupable, qui n’ont rien à envier à celles, actuelles, du groupe Boko Haram.
Il en est de même pour vous, l’auteur de l’article, qui préférez vous lancer dans un article qui est la manifestation caricaturale de ce que l’on pourrait appeler « la culture de l’excuse », et vous livrer à de la désinformation la plus scandaleuse, lorsque vous osez prétendre contre toute évidence que dans cette affaire, je vous cite :« il n’y a ni conversion forcée, ni mariage de force ni esclavage ». Honte à vous de tenir de tels propos, qui vous rendent complice moralement de ces kidnappeurs mahométans d’adolescentes qui, elles, ne demandaient qu’à vivre en paix ...