Vipère, prenons un exemple
vous êtes 10 randonneurs et vous devez choisir entre deux chemin à prendre.
Imaginons que 7 se moquent du chemin, ils s’abstiendront, laissant aux 3 derniers choisir le chemin. Suivant cela, la majorité sur 10 électeurs sera réduite à 2 et le ¨% donnera un score de 66% contre 33%
Maintenant, imaginons qu’il soit inclus un vote blanc, ici, ce dernier signifiera qu’aucun des chemins proposé ne leur convient. Qu’elle serait la solution ? Faire demi tour !!!
Dans la situation actuelle, le vote blanc est comptabilisé mais pas pris en compte (c’est en soi un déni démocratique). Cela reviendrait dans notre exemple où il y aurait 4 votes blanc à dire, « la majorité ne veut pas continuer », mais comme il n’est pas considéré comme impératif, alors, ce sera quand même le choix des 2 / 10 qui sera suivi.
Dans mon exemple, les 4 randonneurs s’insurgeraient contre se déni démocratique. Majoritaires, leur choix est quand même invalidé.
mais quid des élections ?
Car encore et toujours, ici s’affronte la légalité et la légitimité, or, dans un jeu démocratique, c’est la première qui doit aller vers la deuxième, non l’inverse. Car sinon, c’est la dictature.
Alors, peu importe que le vote blanc ne soit pas pris en compte légalement, car légitimement il ne peut être que pris en compte.Et donner des armes...
En conclusion, le vote blanc n’aurait jamais dû sortir de sa clandestinité, car peu importe qu’il soit ou non reconnu légalement, dès l’instant où il existe en propre, il devient légitime. Toutes les précautions prise par le pouvoir politique pour le vider de sa substance sont vaines.