Il est plus juste de parler d’épigénétique que de génétique,
je vous renvoie à l’ article suivant :
http://www.autismone.org/sites/default/files/Deth_ASD03.pdf
Vous pourrez y lire comment les variables environnementales peuvent impacter le codage des gènes, le développement neuronal et la production des neuromédiateurs. Le nombre d’autistes régressifs sont par ailleurs majoritaires par rapport à il y a 20 ans. Quel élément sera déclencheur ?
En quoi certains molécules opioides issues du gluten et de la caséine peuvent jouer un rôle déterminant dans l’ autisme, tant sur leur pouvoir psychogène que sur leur effet pro-oxydant qui va aggraver un processus enzymatique déjà défaillant chez ces enfants. Ceci est bien entendu aggravé par les métaux lourds , pesticides, hormones de synthèses, antigènes vaccinaux..etc...
Tout ceci est déjà bien connu pour tous ceux qui ouvrent les yeux en sortant des dogmes conventionnels sur le sujet ; surtout par le nombre d’ enfants qui sont améliorés par cette approche holistique où l’alimentation sans gluten et sans caséine de vache est exclue ; où la methylation /sulfoconjugaison est soutenue ; les dysbioses intestinales traitées, les candidoses éradiquées ; les métaux lourds chélatés si necesssaire... etc...