Il est pertinent (indispensable même) de concevoir « l’outil » mais sans oublier au préalable « l’oeuvre » que ce dernier propose de réaliser, confirmant en cela qu’il n’y a (presque) jamais de mauvais outils mais (très souvent) de mauvais ouvriers ! Revoyons le flacon, affirmons par un « dessein » nouveau l’étiquette, mais que le breuvage soit, in fine, par le travail d’une excellente et intelligente distillation, un bonheur gustatif pour tous ! ...
Rendons Jaurès, Rousseau et d’autres esprits plus accessibles, inventons de nouvelles pédagogies pour instruire sur la complexité du château de cartes qu’est la France le Peuple désemparé, car en fait, on ne vote que sur ce quoi l’on croit comprendre alors que tout est organisé pour en brouiller la raison (enfumage).
L’URSS - son petit père des peuples et ses complices - à détruit et brisé des coeurs purs, il faut donc aujourd’hui réaffirmer qu’un raisonnement logique appuyé sur une base fausse, conduit à construire une Tour de Pise ! Lorsqu’un plan « génial » ne marche pas (les hommes ne sont pas des petits pois) c’est le plan qu’il faut modifier pour l’adapter à hauteur de l’Homme... comme Orwell le suggéra...
Cela dit, effectivement l’outil démocratique aujourd’hui n’existe plus, déglingué et bricolé, il faut impérativement en inventer un autre sinon tout va « péter » !
Salutations