@ lermontov
Merci lermontov, notre dispute m’as permis de réaliser mes lacunes et d’essayer de les résoudre... Mais c’est pas facile !
Pour ton commentaire, je suis d’accord avec toi, bien que j’utilise le terme « temps » par association directe avec l’espace. En fait, ma conviction est que la monnaie est née de la propriété de la terre. En divisant l’espace, il devenait nécessaire d’unifier le temps ou plutôt l’énergie, par une mesure commune. Le principe est simple, mais son développement difficile à expliciter en termes simples ! Enfin, j’utilise le terme « temps de vie dédié » parce que celui ci peut être de trois natures différentes ; travaillé, d’activité et créatrice.
Or, si le temps, l’énergie est une valeur propre, unique pour chaque être (qui peut s’associer), la seule manière de revenir à respecter cette unicité de l’être (principe libéral !) est de revenir à l’unicité de l’espace. C’est la raison pour laquelle je milite pour transposer la propriété de l’espace en responsabilité.
Aucun système n’est parfait et comporte en lui même ses propre défauts (c’est la condition même de l’évolution de tout système), celui que je défend aussi, toutefois, chaque système répond plus ou moins bien aux besoins et désirs d’une époque, suivant la conscience et les défis de cette époque. Le capitalisme est un système expansionniste de l’espace, tant que les limites de l’espace terrestre n’étaient pas atteintes, il fonctionnait bien (avec ses défauts), mais dès lors que ces limites sont atteintes, il devient destructif car phagocytaire.De fait, l’expansion ne se fait plus dans l’espace, mais dans le temps, c’est à dire, centré sur l’énergie de chaque être (en fait, l’expansion continu, mais hors espace terrestre !). Ce qui m’as fait écrire que « l’intérêt général est la somme des utilités particulières » (merci à ceux qui m’ont inspiré !). Mais là aussi, il faut développer pour bien faire comprendre ce que cela veut dire (principe simple, mais développement complexe).
Alors, est ce que j’ai raison ? Je n’aurai rien pu écrire sans l’inspiration et la relation avec autrui. Personne n’a raison sur les autres, mais avec eux On peut être le premier à avoir raison, mais tant que celle ci n’est pas comprise et prise pour soi par les autres, elle reste sans force et lettre morte. On ne crée pas pour soi, mais pour qu’autrui vous la renvoi, car c’est à ce moment là qu’elle prend toute sa dimension, sa valeur, pas avant !
Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple, comprendre qu’un maitre qui ne suit pas sa discipline, vaut moins qu’un disciple qui n’écoute pas son maître. Quand on s’est laissé aller si longtemps à sa propre crétinerie par refus de grandir, c’est pas facile !!!
11/04 21:34 - Popov
Merci pour votre article ! J’ai trois questions : Ou vont les X= 13% de fuite de (...)
22/07 23:11 - lermontov
@ Hervé C’est un dialogue de sourd, très simplement, et ce n’est pas très grave. (...)
22/07 19:49 - Hervé Hum
tlermontov, On va laisser ce fil à son initiateur, on peut continuer la conversation ailleurs (...)
22/07 16:46 - lermontov
@ Hervé On n’est pas au tribunal, je ne suis pas juge. Tu es celui que tu es, une (...)
22/07 14:18 - Hervé Hum
Salut lermontov, Ce que j’appelle vérité, c’est l’intention de l’être. (...)
22/07 11:51 - lermontov
@ Hervé. Ce n’est pas ça. Si je m’appesantis, c’est pour une autre raison. (...)
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