J’avais pas vue ce message !
Il se peut que je sois parfois l’idiot utile, personne n’est à l’abri !
Ceci dit, je ne parlais pas du climat météo, mais humain. Je l’écris entre parenthèse, mais vous l’avez zappé !
Pour le reste, si mes souvenirs sont bon, avant d’arriver au bilan on passe par un résultat d’exploitation et celui ci dégage soit un bénéfice, soit un déficit. C’est ici que se trouve la création monétaire par l’entreprise.
Lorsque il est accordé un crédit, la création est détruite par le remboursement, mais l’intérêt lui subsiste et est une création nette de monnaie pour cette opération là.
Il y a deux type de monnaie, la monnaie insécable et la monnaie sécable. La différence tient au fait que dans la monnaie insécable, la partie débit et crédit sont contenu dans la monnaie elle même. Pour la monnaie sécable, les deux parties sont séparés dans l’espace et le temps. Un crédit est une monnaie sécable, ce qui permet la destruction du principal (la monnaie est limité dans l’espace et le temps). Et bien entendu, les billets de banques, de pièces et numériques sont insécable (la monnaie n’est pas limité par l’espace et le temps).
la monnaie insécable est donc indestructible à l’intérieur du système. Pour détruire cette monnaie, il faut refonder le système (comme on refond une pièce, brûle un billet ou efface un chiffre).
Or, le bénéfice d’une entreprise, l’intérêt d’un crédit bancaire, sont de la monnaie de type insécable. Donc, création de monnaie non destructible. La première est dû à son activité dans l’économie réelle (il n’y a pas création ex nihilo, mais croissance d’activité économique de cette entreprise), la seconde est dû à son activité dans l’économie irréelle. Un intérêt, hors coût de gestion, est une activité irréelle, qui n’existe pas, c’est une création « ex nihilo ».
Parce que l’argent ne travaille pas, seul l’humain travaille. La seule chose que vous pouvez espérer, c’est que sa valeur se maintienne, pas qu’elle grandisse d’elle même.
Quand au risque, celui ci sert précisément à justifier l’intérêt usuraire, il est donc la condition nécessaire à ce dernier. Donc, le risque est volontaire, mais non nécessaire à l’activité et à la croissance économique, sociale, technique.