@lermontov
Non, pas cette fois, j’ai écris en connaissance de notre dispute passé. Sauf que cette fois, tu reviens sur des questions à laquelle j’ai déjà répondu, sommairement certes, mais il me semble compréhensible.
Ni dieu ni maître, chez moi c’est « chacun doit être son dernier maître et son premier disciple ».
complété par « la liberté exige une grande discipline intérieure, etc »
complété par « être servile avec soi même face aux autres et non servile avec quelqu’un face aux autres »
complété par « la responsabilité est la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui »
complété par « l’intérêt général est la somme des utilités particulières ».
Ce que j’écris dans le dernier commentaire, c’est que face à trois grands groupes de natures d’êtres, ma conception de la liberté dit qu’une nature n’a pas à s’imposer aux autres, mais être complémentaire des deux autres. Vivre ensemble, contre les autres ou sans les autres ? La société par définition c’est vivre ensemble. Ni dieu ni maître dans une société, c’est des règles équitables pour tous. Or, c’est comme la fable du renard et de la cigogne, si les règles sont faites pour l’un, c’est l’autre qui se retrouve « réglé ».
En d’autres termes, une société « ni dieu ni maitre », ce sont des règles tenant compte du rapport des natures en présence et décidé de manière consciente et transparente par la majorité des citoyens qui l’a compose. en vue de trouver le meilleur compromis, équilibre entre ces différentes natures d’êtres (s’il n’(y a pas de règles, il n’y a pas de société). Sans cela, c’est la volonté d’un maître ou d’une minorité maitresse. Et à ce jeu là, c’est une seule nature qui gagne, la nature prédatrice. (le mécanisme étant basé sur le principe des fractales et l’itération de sens,constante de l’Univers que l’on retrouve partout, quel que soit le domaine d’observation, c’est toujours simple mais évolue en forme complexe et hyper complexe, voilà pourquoi je ne me suis pas encore essayé à l’écrire).
Il ne s’agit donc pas ou plus de lutte de classe, mais d’équilibre entre différentes natures d’êtres.
Quel que soit le système imaginé, il comporte en lui même ses propres faiblesses et défauts. Une fois cela admis, il s’agit de faire le meilleur choix, le meilleur compromis. C’est pour cela qu’on dit que la démocratie est le pire des système à l’exclusion de tous les autres. Mais encore faut il le faire exister véritablement.
Alors, si tu attend que je te sorte la solution miracle ; parfaite, ben tu peux toujours courir ! Par contre, trouver le meilleur équilibre, ça on peut le faire et nombreux sont ceux qui y travaillent et avancent des idées pour le trouver (qui m’inspire)... Et je n’en ai pas encore dit grand chose, presque rien...
Mon problème, c’est que je suis plus un parleur qu’un écrivain. Plus oral qu’écrit. Donc, j’aime bien écrire en commentaire, mais pas trop en article, là, je dois me forcer.
11/04 21:34 - Popov
Merci pour votre article ! J’ai trois questions : Ou vont les X= 13% de fuite de (...)
22/07 23:11 - lermontov
@ Hervé C’est un dialogue de sourd, très simplement, et ce n’est pas très grave. (...)
22/07 19:49 - Hervé Hum
tlermontov, On va laisser ce fil à son initiateur, on peut continuer la conversation ailleurs (...)
22/07 16:46 - lermontov
@ Hervé On n’est pas au tribunal, je ne suis pas juge. Tu es celui que tu es, une (...)
22/07 14:18 - Hervé Hum
Salut lermontov, Ce que j’appelle vérité, c’est l’intention de l’être. (...)
22/07 11:51 - lermontov
@ Hervé. Ce n’est pas ça. Si je m’appesantis, c’est pour une autre raison. (...)
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