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Commentaire de soi même

sur Réflexions au sujet de l'affaire Mérah (le problème des preuves)


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soi même 21 août 2014 11:11

Bonjour à tous, c’est justement vouloir à qui ne soit pas prit vivant qui est le plus suspect dans cette affaire.
Cela ne correspond pas à la déontologie de la police et de la justice en France qui on toujours privilégier d’arête un coupable vivant .

Cela démontre, qu’il y a une forte implication de pression politique dans cette affaire, dissimulation de preuve, imposition par défaut d’une seul version des faits, et surtout permet à que la vérité officielle soit la seul licite,

Il étonnant vue la sensibilité cette affaire, qu’il y est pas eu une enquêté parlementaire sur la chaîne des responsabilités et commandements, et que le Président Hollande fraîchement élue n’a pas rouvert le dossier pour sanctionner les éventuels coupables de ce fiasco policier !

Il a noter que ce affaire va fournir un alibi à une refonte des lois antiterroristes en France.

Prévention ou surveillance ?
Une nouvelle loi antiterroriste comme réminiscence de l’affaire Merah
par Jean-Claude Paye

(La volonté affichée par Manuel Valls apparaît d’abord comme un démenti d’un appareillage législatif déjà existant qui contient déjà tout ce que le nouveau ministre de l’Intérieur veut y introduire. Sa démarche fait immédiatement penser aux déclarations de son prédécesseur. Claude Géant qui avait expliqué à la presse que l’on n’avait pas préventivement arrêté Merah, alors qu’il était sous surveillance, parce que « rien de délictuel ne pouvait a priori lui être reproché avant ses crimes ». « En France, on ne défère pas à la justice des gens pour des intentions, pour des idées salafistes. On ne peut arrêter les gens que pour des faits  », avait-il ajouté.

La démarche des deux ministres de l’Intérieur est identique. Il s’agit d’abord de démentir l’évolution du droit pénal de ces dix dernières années, c’est à dire l’existence d’incriminations et de procédures pénales qui accordent des pouvoirs étendus à la police et aux services de renseignement . Ils affirment ensuite que, suite à cette lacune, notre sécurité serait menacée et qu’il conviendrait d’introduire dans le code pénal des dispositions qui y sont déjà ou qui sont utilisées dans un cadre administratif.)

(L’autre grand aspect du texte concerne la surveillance des données de connexion : internet, géolocalisation, factures détaillées de téléphone. Depuis 2006, cette surveillance peut s’exercer dans un but préventif, c’est à dire en l’absence de tout délit. Mais ces dispositions régulièrement renouvelées tous les deux ans, sont temporaires et expirent le 31 décembre prochain. La procédure d’urgence avait d’ailleurs été justifiée par le gouvernement en invoquant la nécessité de les prolonger. Inscrites dans la nouvelle loi, ces mesures deviennent permanentes. A travers ce vote, le groupe socialiste renie son abstention, lors du vote de ces dispositions en 2006. ) 

http://www.voltairenet.org/article176945.html

Tous laisse à pensé, que le pouvoir avait besoin d’une affaire de ce type se produise en France et il y a une étrange coïncidence avec cette affaire belge donc Thierry Meyssan explique les arrières plans crapuleux qui sont espérer dans ce genre d’affaire.

L’affaire Nemmouche et les services secrets atlantistes


  


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