Merci de vos réactions à tous les quatre. (le 3 septembre entre 15H41 et 18H42)
@ Doume65
La vidéo que vous m’indiquez, et que je connaissais
déjà, ne fait que constater que Bruxelles parle de plus en plus l’anglais. Et alors ?
@ Xenozoid
Vous parlez plusieurs langues. Très bien pour vous,
mais quel rapport avec une politique linguistique ?
@ alinea
Bravo pour votre article.
Vous dites :
« Mais si on en vient à l’esperanto, les
deux seules personnes que j’ai connues qui le professaient, étaient, il y
a longtemps, d’une part un juif qui parlait le yiddish, le russe, l’allemand,
le français, l’anglais et l’hébreu ; et l’autre, aujourd’hui, qui est
fonctionnaire européen, allemand et qui parle couramment le français,
l’anglais, l’italien et l’espagnol, sans compter ses connaissances en
néerlandais. !! »
Oui, venons en à l’espéranto, alinea, oui, mille
fois oui, afin de permettre un véritable dialogues entre citoyens européens et
sans attendre la sortie de la France de ce piège mortel. Or, seul Europe Démocratie Espéranto dispose de cela dans son programme politique.
@ Fifi Brind_acier
Vous dites :
« Dire que l’ UPR n’est pas concernée par la question
linguistique est une mauvaise information. »
Non, Fifi, c’est une information, ni plus ni moins.
Moi, je parle, et
vous le savez très bien, de l’intérêt d’intégrer dans son programme politique
les mesures nécessaires pour contrer ce phénomène. Et là, tant du côté des
partis politiques de l’UMPS-FN que de l’UPR, c’est le silence radio, ne vous en déplaise.
Je vous l’ai déjà écrit, ce que fait une loi (la loi
Fioraso par exemple) une autre loi peut le défaire. Et de ce côté, chez l’UPR,
c’est Waterloo morne plaine. Hélas. D’où ma demande insistante auprès de qui
vous savez.
On verra si Asselineau me reçoit, et s’il ne me dira
pas que « c’est une question non prioritaire ». En attendant, ce monsieur est
totalement injoignable, voire inaccessible. Si vous trouvez cela normal, moi pas.
Cordialement à vous quatre.
Thierry Saladin