minute...
si vous relisiez attentivement les lignes ouvrant ce compte-rendu, vous verriez,
vous verriez
qu’elle vous aurait imposé la position du voyeur,
plus encore, dites-vous, celui qui voit le voyeur même : le voyeur au carré, le carrément voyeur -
d’où votre titre... remerciant la remerciante.
ce que vous acceptez trop vite :
le Principe exhibitionniste mis en place par le sarkozisme via la belle et délicate Carla
qui nous la joua, ne l’oublions pas trop vite, « comme si de rien n’était » ;
sauf qu’elle était déjà formatée par le Spectacle la p’tite.
Val par contre, c’est pas des brindilles ;
ce qu’elle conçoit c’est que si avec Ségo ça marche pas, avec elle ça prend,
donc la clef c’est elle...
poursuivons...
lorsque par une manoeuvre d’écriture vous notez :
« deux premiers rôles, le président Hollande et la (sa) première dame. »
dans cette hésitation vous avez écrit Tout leur roman.
ce que l’on comprend moins c’est :
« un homme assez léger dans ses sentiments, fourbe et menteur. Bref, un homme normal » -
comment ne pas coucher allez lisez...
ben ne lisez pas,
c’est bien le seul moyen.
maintenant soyons lucides, et justes :
cette femme ment sur deux axes :
-moi la pauvre / lui le faux pauvre n’a jamais été sa question ;
-moi l’amoureuse éconduite ne fut pas vraiment le problème.
contrairement à ce que vous dites nul autant que Val ne méritait d’être première Dame, alliance ou pas, quel détail ! au vu des anneaux engagés ;
non,
enfin bernadette et danielle étaient mortes !
dans tout leur anachronisme, comme si 68 n’avait jamais eu lieu !
Carla ouvre la brèche,
mais elle ne fait pas le poids.
Lorsque Val arrive, elle se bat pas sur un bisou-photo,
si elle se grille sur son tweet (même fou amoureux je l’aurais éjectée pour ça),
elle n’en pense pas moins que son rôle est autre,
et possible avec une autre ampleur ;
or il ne peut pas lui pardonner « la première gaffe de France »,
et c’est là-dessus que le malentendu va gonfler
jusqu’à ce que pour s’égayer, ailleurs, j’eux lit.
voilà,
sans parler du titre :
ça commence par « mère », si !
et ça finit par moman...