Les malfaisants décrits dans cette histoire ne sont pas des « pauvres ». D’après la description de leurs méfaits, il s’agit surtout de gens qui n’ont aucun sens de la civilité (ils ne connaissent que l’agression comme type de relation sociale) et aucune conscience de la limite de leur territoire (leurs bruits et leurs saletés débordent partout autour d’eux).
C’est important de le préciser car il existe des « pauvres » très respectueux de leurs voisins, d’agréable compagnie et dont les enfants sont polis et serviables.
Donc le problème ici est la barbarie, l’état du bipède qui n’a pas reçu suffisamment d’éducation pour se comporter en être humain, mais que l’on ne peut pas non plus mettre simplement dans un zoo (il a une apparence humaine) ni lâcher dans la forêt (il n’a même pas l’instinct d’un chimpanzé).
Or, quelles sont les CAUSES de la prolifération de tels barbares, ni véritablement humains ni dotés de la dignité du singe ?
1. La faillite de l’instruction publique dont sont responsables :
- les politiciens professionnels cherchant à se faire élire en mentant sans vergogne,
- les syndicats idéologiquement verrouillés par des dirigeants butés-cons,
- les parents d’élèves matérialistes ne pensant qu’au diplôme de leur rejeton,
- les enseignants par leur déni du réel et leur participation au grand camouflage.
2. La télévision et les programmes d’une stupidité abyssale et d’une vulgarité vomitive, destinés à occuper et ramollir le cerveau pour le préparer à la publicité.
3. La disparition de notre souveraineté et la perte de contrôle de nos frontières, dont nous sommes tous responsables par notre passivité et notre manque de courage.