• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de ffi

sur Comprendre Nicolas Machiavel (2/2)


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ffi ffi 11 octobre 2014 03:53

En effet, je n’ai fait alors qu’appliquer la doctrine de Leibniz à l’entité Gazaoui et à l’entité Judéenne.
--------------
46. Cependant, il ne faut pas s’imaginer avec quelques uns, que les vérités éternelles, étant dépendantes de Dieu, sont arbitraires et dépendent de sa volonté, comme Descartes paraît l’avoir pris et puis Monsieur Poiret. Cela n’est véritable que des vérités contingentes, dont le principe est la convenance ou le choix du meilleur ; au lieu que les vérités nécessaires dépendent uniquement de son entendement et en sont l’objet interne.
[...]
52. [...] Car Dieu comparant deux substances trouvent en chacune les raisons d’y accommoder l’autre[...]
53. Or, comme il y a une infinité d’univers possible dans les idées de Dieu, mais qu’il ne peut en exister qu’un seul, il faut qu’il y ait une raison suffisante pour le déterminer à l’un plutôt qu’à l’autre.
54. Et cette raison ne peut se trouver que dans la convenance, ou dans les degrés de perfection que ces mondes contiennent ; chaque possible ayant droit à l’existence à mesure de la perfection qu’il enveloppe.
[...]
89. [...] Et qu’ainsi les péchés doivent porter leur peine par l’ordre de la nature ; Et que de même les belles actions s’attireront leurs récompenses par des voies machinales par rapport aux corps ; quoique cela ne puisse et ne doivent pas toujours arriver sur le champ.

Leibniz, monadologie.
------------------------------------------------------
Il s’agit de plus d’une réponse de trois ligne à une interpellation incongrue, et hors-sujet, de votre part, puisque le sujet était l’approximation fatale des théories induites à partir des faits, ce qui contraint nécessairement à penser Dieu, ce que Machiavel avait oublié me semble-t-il.
 
Mais, sur ce sujet, hélas, vous n’avez pas pipé mot.
Vous êtes allé de diversions en diversions, petit coquin que vous êtes.
 
Pourtant, malgré ces diversions tout azimut, je ne me suis pas contredit, puisque ma réflexion suivait une logique de compréhension du réel.
 
En revanche, votre discours éparpillé sautant du cos à l’âne et votre appétit de sentences définitives a bien démontré que ce qui vous guidait n’était nullement la compréhension des choses, mais la recherche d’une victoire dans un conflit.
Hélas, vous fûtes trop maladroit pour qu’il en soit ainsi.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès