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Commentaire de soi même

sur Le BHL cinéaste est-il un Kubrick incompris ?


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soi même 16 octobre 2014 17:48

Nietzschéen sans doutes en tous cas pour les susceptances, ( Dans une interview accordée il y a quelques jours au Figaro.fr, Bernard-Henri Lévy avouait qu’il avait recours à des substances dangereuses, « Il y a une vraie tradition, vous savez, des écrivains consommateurs de substances (...) À quoi sert un corps, pour un écrivain, sinon à produire le maximum de texte possible ? Et de la meilleure qualité ? Les amphétamines, parfois, m’y ont aidé. » )

La consommation de substances est évidemment illégale et mauvaise pour la santé !

Bernard Henry Lévy : « Les intellectuels faussaires » L’affaire Botul aurait dû être le cercueil de Le misérabilisme philosophique d’un agrégé en imposture Par Mohamed Mebarki
Pascal Boniface en apportant d’irréfutables preuves. « En 2001, il évincera d’Arte Georges Goldenstern malgré la pétition en sa faveur d’une centaine de cinéastes et de producteurs influents dans le milieu du cinéma. Ce dernier s’était opposé au financement du film le Jour et la Nuit qui a fait le bide que l’on sait. Un film, qui selon les commentaires, a fait plus de sorties que d’entrées. Ce long métrage calamiteux qui n’a fait que 70 000 entrées, malgré une promotion digne d’un blockbuster hollywoodien, avait reçu 530 000 euros au titre de l’avance sur recettes. Les Cahiers du cinéma l’avaient qualifié de plus mauvais film depuis 1945. Dans Libération, Gérard Lefort ironisait : ‘Je suis allé à la séance de 18 heures. Deux heures plus tard j’ai regardé ma montre, il était 18h 20…’ », écrit le directeur de l’IRIS qui ne manque pas de s’interroger : « On peut se demander si de tels commentaires critiques seraient toujours possibles aujourd’hui vu le poids de B.H.L. sur les médias. » Le film le Jour et la Nuit, réalisé en 1997 par Bernard Henri Lévy et illustré à l’écran par Alain Delon, Lauren Bacall et Karl Zéro, fut un désastre cinématographique et financier qui n’empêcha pas son auteur d’ouvrir le feu sur tous ceux qui l’avaient « mal vu » en signant un droit de réponse audiovisuel. Une première dans les annales du cinéma ! Aucun cinéaste n’avait fait montre d’une hargne et d’un extrémisme pareils jusqu’à harceler ses propres détracteurs. Cité par Pascal Boniface, Philippe Cohen écrit : « B.H.L. est ainsi devenu de facto l’un des derniers censeurs opérationnels du système médiatique parce qu’il est réputé disposer d’un pouvoir de nuire rare dans le milieu des décideurs politiques. »

łł Mohamed Sifaoui, l’Algérien, s’extasie à pleins poumons et ne tarit pas d’éloges sur le compte de celui qui a osé manquer de respect à la moudjahida Zohra Drif Bitat lors d’un débat organisé en mars dernier à Marseille par l’hebdomadaire Marianne. « Il faut, parfois, savoir rendre à César ce qui appartient à César », s’écrie subitement Sifaoui en proie à une révélation. « J’ai souvent été très critique à l’endroit des représentants du monde intellectuel français – et notamment à l’égard des penseurs de gauche – sur leur incapacité à voir les dangers de l’islam politique. De l’islamisme, comme on l’appelle. N’empêche. Si je devais témoigner de l’engagement d’un seul homme, d’un seul journaliste, d’un seul écrivain, d’un seul philosophe, bref d’un intellectuel, contre ce fléau obscurantiste, et je devais livrer un seul nom, ce serait celui de Bernard Henri Lévy qui me viendrait à l’esprit », »

http://www.eldjazaircom.dz/index.php?id_rubrique=221&id_article=2798

LES PREUVES DE L’INEXISTENCE DE BERNARD-HENRI LEVY

http://www.lherbentrelespaves.fr/BHL.html


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