L’introduction de tissus de fœtus humains avortés dans la fabrication des vaccins ne serait-elle pas responsable de désordres génétiques chez l’enfant ?
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Des tissus de fœtus humains avortés dans les vaccins
Ex-scientifique pour une compagnie pharmaceutique américaine,
aujourd’hui à la retraite, Helen Ratajczak a récemment créé une tempête
de débats provenant de tous les milieux en publiant un article sur les
liens entre l’autisme et les vaccins, article reproduit et commenté sur
de nombreux sites Internet(1).
Elle y révèle, entre autres, que l’industrie des vaccins utilise des
cellules d’embryons humains avortés. Ces tissus humains sont
actuellement utilisés dans 23 vaccins. Pour cette chercheuse,
l’incidence de l’autisme, qui ne cesse d’augmenter, pourrait
correspondre à l’introduction d’ADN humain dans le vaccin ROR.
[...]
Ces cellules extraites de tissu fœtal humain (fibroblastes de poumon
surtout) ont servi à créer la souche appelée WI-38, qui fut utilisée
pour fabriquer le vaccin antipolio au départ, puis celui contre la
rubéole, et, par la suite, de nombreux autres vaccins. Plus d’un
milliard de vaccinés à travers le monde ont reçu des vaccins contenant
la souche WI-38. D’autres cellules humaines sont utilisées également de
nos jours, notamment dans la souche MRC-5 (qu’on retrouve dans le vaccin
contre l’hépatite A). A titre d’exemple, il a fallu 27 fœtus avortés
pour pouvoir isoler, puis cultiver, le virus de la rubéole, dont la
souche est appelée Wistar RA 27/3. C’est le professeur américain Stanley
Plotkin qui mit au point, en 1969, le vaccin contre la rubéole avec
cette souche et c’est encore cette dernière que l’on trouve dans le
vaccin combiné actuellement préconisé en France, le MMR Vax Pro et dans
tous les vaccins ROR existants.
Les vaccins cultivés sur cellules diploïdes humaines issues de tissus de fœtus avortés sont :
• les vaccins antipolio buvable (WI-38),
• les vaccins ROR ou MMR (RA-27/3) (valence rubéole et oreillons),
• les vaccins contre la varicelle (MRC-5),
• les vaccins contre l’hépatite A (MRC-5),
• les vaccins contre la rage de deuxième génération (Wistar-Rabies).
La souche WI-38 apparut aux Etats-Unis en 1961 : cette lignée provenait
de cellules pulmonaires d’un fœtus humain féminin, intentionnellement
avorté à trois mois de gestation dans un hôpital suédois.
La souche MRC-5 a été développée au Royaume-Uni en 1966 ; cette lignée
était dérivée des cellules pulmonaires d’un fœtus humain masculin,
intentionnellement avorté à l’âge de 14 semaines(5).
Beaucoup d’autres souches cellulaires dérivées de fœtus humains ont été
préparées aux fins de recherche en pharmacologie et pour la fabrication
des vaccins (MRC-9 ; IMR-90 ; HEK 293 ; PER-C6…)(6).
[...]
Quant à savoir si c’est l’ADN humain contenu dans les vaccins qui peut
provoquer l’autisme, comme le suggère Helen Ratajczak, le débat est
ouvert. Mais, si les officiels continuent à nier tout lien entre autisme
et vaccins, les arguments qu’apporte cette scientifique après avoir
épluché la littérature scientifique sur le sujet, tiennent la route. “De
l’ADN humain en provenance des vaccins peut être inséré dans nos gènes
par recombinaison, un processus qui ne se produit qu’à l’intérieur d’une
même espèce et qui peut perturber le développement du système nerveux
central, la formation des synapses et la fonction des mitochondries”,
rappelle-t-elle.
Si l’on ajoute à cela l’action destructrice des composants toxiques des
vaccins, dont le mercure, on arrive à une véritable épidémie de maladies
neurologiques graves liées aux vaccinations.
http://www.votresante.org/suite.php?dateedit=1315411776