Le titre de l’article
est complètement abusif, l’article lui-même tombe dans la tactique
facile du bouc émissaire avec Valérie Trierweiler. Qu’elle soit
maladivement jalouse, on s’en doutait après l’affaire du twitt sur
Ségolène Royal. Là, elle le confirme sans ambage. Dont acte. Cela
veut donc dire qu’elle n’avait rien à faire à la place de femme du
président. Je ne regrette donc en rien qu’elle ait quitté cette
position. Mais ce n’est pas elle qui ternit l’image de la France ;
car François Hollande le fait très bien tout seul. Ce que certains
reprochent à Trierweiler, ce n’est pas tant d’être une ancienne
compagne indigne ou de révéler des secrets d’alcove par bassesse,
même si effectivement elle ne manque pas de bassesse.
Ce qu’ils lui
reprochent vraiment, c’est bien de révéler un Hollande retors,
manipulateur, froid, hautain, méprisant, un homme politique qui ne
fait pas de sentiment ; un politicien tout à fait typique, quoi.
Auquel le qualificatif de psychopathe peut s’appliquer. Ce dont on
pouvait facilement se douter en suivant sa politique, notamment sur
la Syrie. En bref, il y avait au moins un point sur lequel il n’avait
pas menti : il est bien un président normal, comme les autres.
Nombre de ses soutiens ne veulent simplement pas voir les choses en
face.Hélas, les tenants de la politique traditionelle continuent à
s’aveugler, et ne pas voir leurs dirigeants pour ce qu’ils sont.