Cher Monsieur,
Je pense que la problématique évoquée n’est pas seulement une question physico-chimique de carburation (ou d’injection) dans des moteurs à allumage commandé ou dans ceux à combystion iiterne. Même si n-bein entendu les émissions au plan quantitatif voire qualitatif dépendent de la nature de la carburation et du comtrôle de l’alimentaityon combustion, le problème est ici d’analyser de façon concrète et intrinsèque quelle est l’importance qualitative et quantitative des émissions des échappement s de véhicules à essence ou diesel, toutes choses égales par ailleurs. Ce bilan comparatif des émissions montre que d’une part, les moteiurs à essence muni de pôts catalytiques à triple effet ce qui est aujourd’hui la règle n’émettent pas d’Hydrocarbures Aromatiques polycycliques ni de SO2 car la loi exige aujourd’hui que les super soient dépourvus de soufre et que de toute façon, ils n’en renfermaient par le passé que de très faibles teneurs. A l ’opposé, le gazoil dit gazole a renfermé jusqu’à 500 mg/l de Soufre et aujourd’hui encore, la règlementation des carburants fixe cette teneur à la valeur limite de 10 mg/l si mémoire est bonne. Par ailleurs ; même dans le cas des normes Euro 6, que vous connaissez certainement ... et qui ne seront appliquée qu’à partir de la mi-Septembre 2015, la réglemenbtation tolère pour le diesel des émissions en NOx, Hydrocarbures imbrûlés et particules fines toujours supérieures à celels exigées des moteurs à essence. Quinconces a quelques notions sur l’épuration des produits de combustions des diesels est au fait des difficultés d’arriver à équilibrer la réduction des NO2 et celle des émissions des particules fines et des hydrocarbures. Par ailleurs se pose la question de l’efficacité dans le temps ds filtres à particules....E définitive et bien qu’il faille reconnaître que les constructeurs ont amélioré considérablement depuis les premières normes euro l’épuration des émissions des diesels, il n’en subsiste pas moins qu’Euro 6 inclus, le diesel demeure significativement plus polluant relativement aux émissions toxiques que l’essence. IL serait t difficile de comprendre que des organisations internationales telles que l’OMS, ou encore les rsponsables de grandes capitales des pays lesplus développés continuent à envisager des mesures de restrictions cocnernant la circulation des diesels dans les villes si ce différentiel d’émission de polluants toxiques avait été réduit à un niveau qui interdirait cette distcinction entre essence et diesl
Je vous prie d’agréer, Cher Monsiuer, mes distinguées salutations.
F. Ramade