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Commentaire de Passante

sur Nul n'est prophète en son pays - Le déclin de l'Occident est scellé


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Passante Passante 30 janvier 2015 17:22

salut,


le titre de l’article pour moi comporte un pléonasme sous un certain angle c’est comme si l’occident ou le couchant comprenait déjà le scellement, le fait de mettre sous le voile quelque chose justement qui finit par s’inscrire dans la biologie, et toucher ou mettre en dormeuse oui, des parts du cerveau, et donc ici ne pas dire « mort », mais « en dormeuse ».

exemple : tous les films-catastrophes réunis ou une guerre soudain, 
plus rien, ni eau, ni jus, ni net, ni tékés ou radios, ni phones, la cata du plus rien, 
lascaux là soudain :)
ben tout y est 
et en quelques jours, et quelques nuits surtout 
c’est quoi ces bruits.. ?

donc l’occident est une chose qui consiste à faire comme si tout cela n’était plus de ne plus avoir lieu ; cet oubli progressif, les plus optimistes ont voulu le lire comme une préservation, une mise au secret de la vie elle-même par elle-même, vérité dans le mensonge, ruse de vie,, dans son oubli, en vue d’un levant plus radieux, digne des grands commencements.

héraclite fait l’hypothèse que la psyché s’accroit d’elle-même comme une plante, socrate fait l’hypothèse de la réminiscence absolue et la démontre avant freud, la perte de tout cet oubli, visible, dure, terrible, n’est donc pas réelle, même si reflétée fidèlement dans le réel jusqu’à la biologie oui, cette perte est jouée, elle est le jeu de voilement interne de la pensée à elle-même, voilà pourquoi c’est sur une échelle éveil-sommeil ou activation-désactivation que les choses sont à lire.

et ici le cerveau dormant cor-respond à un ensemble d’humeurs en circulation en rapport avec des états atmosphériques, des chuchotements telluriques en certains lieux plus morts que d’autres, c’est un seul tissu, la maltraitance lisible sur tous les plans absolument ne trouve qu’un seul dénominateur commun : elle est toujours perte de la mesure, au sens de la mesure humaine.

dès qu’une excavatrice s’attaque à une montagne c’est dans votre cerveau qu’elle creuse, immanquablement, évidence ça.

mais les contes de fées ont la vie dure
jusqu’aux comptes de faits. 

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