"Si,
cela fonctionne. Je viens de le faire."
Chez moi, ça
ne marche pas – le lien renvoie à ma page personnelle -, mais après avoir
consulté votre pedigree, j’ai passé par le lien qu’il comporte. J’ai consulté
votre projet dans ses grandes lignes, et j’aurais beaucoup de remarques à
exprimer sur les modalités concrètes de sa mise en oeuvre, mais j’ai pas le
temps de m’y consacrer. Je développerai simplement les deux critiques
que j’ai déjà exprimées.
"Je
n’ai aucunement écrit cela."
Bien sûr que
non, puisque c’est moi.
Ce que j’ai voulu dire par là, c’est qu’avec votre formule de travail à bien-plaire, l’employeur
ne peut pas tabler, sauf planification pharaonique à l’échelon national, comme
déjà dit, sur la présence de la totalité du personnel – et en particulier
des spécialistes - dont il a besoin pour faire tourner sa boutique, c’est-à-dire
pour honorer ses commandes.
Un système à la rigueur envisageable avec des coiffeuses, des chauffeurs de taxis et des pizzaiolos, ne peut pas être purement et simplement transposé à des entreprises actives dans des secteurs de pointe, à forte valeur ajoutée.
« Maigre Dividende Universel ? ? ? »
Obligatoirement !
Trop élevé par rapport au minimum vital, il dissuadera de travailler des gens
dont la communauté a impérativement besoin pour satisfaire ses besoins
essentiels, par exemple dans les domaines de l’alimentation, de l’énergie, de la
santé, du logement, de l’instruction, des transports, et j’en passe…