Commentaire de Qaspard Delanuit
sur La prostituée de l'Apocalypse
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« Cette femme était vêtue de pourpre et d`écarlate, et parée d`or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d`or, remplie d`abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Ap.17, 4-5
Derniers commentaires
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25/02 09:06 - oscar fortin
@SamsonL Une autre fois, merci pour ces réflexions que je trouve inspirées de beaucoup de (...)
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25/02 02:22 - Samson
@soi même Je ne connaissais pas le Songe d’Olaf Asteson et dois encore me renseigner, (...)
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24/02 19:50 - soi même
@Samson, ( Un point commun aux trois œuvres (Odyssée, Chant XII, Enéide, Chant VI, Divine (...)
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24/02 18:22 - dixneuf
La religion doit être replacée dans le contexte global du temps et de l’espace depuis la (...)
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24/02 18:17 - Pyrathome
Bonjour Oscar, « Cette femme était vêtue de pourpre et d`écarlate, et parée d`or, de pierres (...)
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24/02 16:46 - Samson
Pour plus de précision, la louve symbolise pour Dante cette Rome impériale dont l’Église (...)
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