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Commentaire de ddacoudre

sur Le capitalisme dérégulé expliqué aux sans dents


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ddacoudre ddacoudre 16 mars 2015 08:12

@izarn

bonjour izar. notre société à un mal fou a comprendre que ce qui existe à une raison d’être et n’est que la conséquence de notre propre système émotionnel en réaction à l’environnement dans lequel il s’exerce. toutes les espèce procèdent de cette manière , ce que nous appelllons le capitalisme n’en est qu’une facette et repose sur le moyen d’être le dominant en utilisant l’environnement dans lequel les autres sont une donnée malléable et exploitable. faire du capital dans ce jeux de rôle des un et des autres demeure un comportement grégaire, puisque l’autre n’est eb fait regardé que comme un marché. ce n’est pas parce que nous avons modernisé nos moyens et rendu confortable notre existence que le fond a changé. je dirais même que nous avons régressé par rapport à une période où l’homme se regardait comme un humain ce qu’il fait toujours tout en disant qu’il ne doit pas s’exploiter sous n’importe quelle condition. certes il a évolué dans le cadre du respect de la personne l’on ne peut plus fouetter l’esclave, mais il demeure de la graine d’esclave, car sa force de travail demeure un capital à louer aux moindres conditions et non un capital qui s’ajoute. comment peut-on imaginer que ce que nous structurons ne soit pas autre choses qu’un moyen de réguler nos existences. l’organisation du capital se substitue à une forme d’incapacité des individus de dépasser le stade de ce qui correspond à la limite de ses sens, e fait donc appel à l’intellectuel qui compose des organisations qui lui ressemble et son perfectible du fait que la masse d’ignorance est plus grande que celles des connaissances dont nous disposons. et quand nous nous retrouvons face à cette confrontation, alors nous nous faisons la guerre comme aveu de notre impuissance à sortir de nos instinct grégaires qui définissent un dominant, même si aujourd’hui nous ne le reconnaissons plus car il est devenu systhèmique.

cordialement.


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