@Jean Keim
Malgré mes efforts, je ne peux relier la Patagonie au sein de notre discussion, elle ne fait donc pas sens et si elle ne fait pas sens, si je ne peux la mettre dans la relation de causalité, alors, je n’en ai pas conscience, même parce que vous l’écrivez. Par contre, je peux me demander si vous avez, vous, conscience de ce que vous parlez !
Ceci étant dit,
mon observation du monde dans lequel nous vivons me montre non pas une dimension de conscience d’être, une dimension d’espace-temps, mais une infinité, s’organisant les unes vis à vis des autres selon des principes intangibles en eux même.
Mais pour avoir une idée précise de la réalité des dimensions de consciences d’être, il suffit de vous prendre en exemple, en effet, vous verrez que l’enfant que vous étiez vivait bel et bien dans une dimension de conscience d’être propre et confondre celle ci avec celle de l’homme que vous êtes aujourd’hui, peut s’avérer ou bien dangereux ou bien agréable, selon les relations de causalités que vous noué (avec ces dimensions passés) dans votre dimension de conscience présente, car il s’agît bien là de différentes dimensions de conscience d’être.
On ne peut pas changer, modifier le contenu d’une dimension de conscience d’être passé, on ne peut que soit la détruire, soit lui ôter sa force relationnelle, mais pas son contenu sans provoquer une dissonance, une aporie conduisant aux aberrations.
Avec l’age et l’expérience de soi, on arrive à savoir de quelle dimension viennent nos habitudes, nos goûts, nos réactions, bref, nos émotions et pensées. Ces dimensions sont distinctes, mais évidemment reliés entre elles, intriqués, que même le déni ne peux supprimer, mais au contraire donne plus de force.
Et si vous arrivez à avoir la conscience de toutes vos dimensions de consciences d’êtres, avec toutes leur interactions, alors, vous aurez atteint l’omniconscience d’être !
L’humanité a développé une conscience où la Terre, en tant que son support exclusif de vie, lui apparaissait comme étant tout l’Univers réel, le ciel représentant son imaginaire. Aujourd’hui, la Terre apparaît comme un grain de poussière dans l’Univers, sur lequel nous devons faire attention parce qu’il s’avère plus petit et fragile que ce que nous nous figurions jusque là, relationnellement à la dimension où la Terre pouvait supporter sans grands dommages l’activité humaine.
en raison de cela, on voit bien que la relation de causalité ne peut plus être la même.
Elever sa conscience, c’est accepter cette réalité et trouver un nouveau sens à celle ci en conséquence de cette connaissance. Or, aujourd’hui nous sommes dans le déni de cette réalité.
La conscience supérieure est d’accepter et d’aimer la réalité selon ses lois de relations de causalité et ses différentes dimensions d’espaces-temps.
10/07 10:00 - Jacques-Robert SIMON
@gogoRat Les partis dits politiques font de tout sauf de la politique (au sens noble).
10/07 09:58 - Jacques-Robert SIMON
@Hervé Hum On aperçoit quelquefois une certaine ruine de l’âme … Espérons (...)
10/07 09:55 - Jacques-Robert SIMON
@Gilles Mérivac Je crois qu’il y a des différences fondamentales entre phénomènes (...)
28/06 19:37 - Gilles Mérivac
Comme pour les phénomènes physiques, l’évolution de l’humanité est guidée par le (...)
28/06 10:39 - christophe nicolas
26/06 14:12 - Hervé Hum
@Jean Keim Itération et récursion on des sens très voisin, mais bien distinct l’un de (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération