@ Vincent Verschoore
Vous oubliez dans votre liste de courants de pensée le troisième, qui est probablement très majoritaire dans l’opinion mais non représenté, ni par les médias ni par les partis politiques.
Ce courant de pensée consiste à affirmer qu’il n’y a aucune différence entre l’islam et l’islamisme, que l’idéologie mahométane est une idéologie intrinsèquement belliqueuse (il suffit pour s’en persuader de lire les textes fondamentaux de l’islam ), que cette guerre entre l’islam et le reste du monde existe depuis le moment ou cette religion a été inventée par un chamelier du début de moyen âge souffrant d’un délire mystico-paranoïde, que cette doctrine absurde été ensuite propagée par la violence, les pillages et les meurtres dans un cinquième du monde existant, et enfin que les musulmans« éclairés » veulent au fond la même chose que les musulmans « allumés » : qu’il n’y ait plus qu’une seule religion sur cette planète, l’islam, bien que les « valeurs » véhiculées par celle-ci soient totalement incompatibles avec les Lumières et avec les droits de l’homme, et en particulier ceux de la moitié féminine de l’espèce humaine !
Selon ce courant de pensée, il y a un choix à faire entre la liberté de religion de 5 pour cent de la population française ( celle des adeptes de l’idéologie mahométane ) et la liberté d’expression, ainsi que la sécurité des 95 autres pour cent des français.
Le choix est à mon avis vite fait : il suffit d’une volonté politique et de courage( cf Geert Wilders aux Pays-Bas )
Si les attentats musulmans commis depuis le début de l’année avaient été commis par des adeptes d’une secte ou d’un groupuscule politique, cette secte ou ce groupuscule
aurait été interdit très rapidement ! Ce que l’on peut faire avec une secte ou un groupuscule, on peut le faire avec une religion, dès lors que celle ci ne respecte pas l’article 10 de la déclaration des droits de l’homme de 1789 :
« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi. »Cette succession récente d’attentats au nom de l’islam constitue un trouble à l’ordre public d’une importance suffisante pour incontestablement justifier l’interdiction, ou du moins une très sévère limitation, de cette religion sur le territoire national.
