le non ne changera pas l’austérité, c’est mentir que de le prétendre.
de plus, toute prêt augment automatiquement la créance et la dette.
Une tautologie que les gens n’arrivent pas a comprendre.
quand l’argent entre en Grèce, elle va donner une créance à des gens parfaitement identifiés, si on excepte l’achat de biens étrangers par le gouvernement et qu’on ne retient que les pensions, aides sociales, aide aux entreprises et salaires des fonctionnaires, toutes ces créances vont crée en même temps une dette générale, dû par l’ensemble des citoyens grecs et non pas ceux qui ont reçu la créance.
comme les fonctionnaires et les retraités ne disposent pas de propriété générant de la plus-value, l’argent reçu ou plutôt, la partie créance de la monnaie (dont la dette lui est consubstantielle) une fois dépensé se transforme, pour eux, en dette systémique car la créance ainsi échangé contre une dette va rejoindre, gonfler un peu plus le porte feuille des propriétaires des moyens de productions qui leur auront prêté l’argent, ou plutôt, avancé une créance distribué à des particuliers, mais dont la dette est elle générale car non nominative.
Autrement dit, la créance ou prêt est nominative, mais la dette correspondante est elle, générale. c’est le propre de la monnaie en système capitaliste !
normalement, on définit cette pratique comme une dette odieuse car la créance est particulière, quand la dette est collective, sauf qu’ici, s’agissant du corpus social, faire appel au caractère odieux de la dette pour ses raisons, revient à suspendre le paiement des pensions et des salaires liés aux prêts ou « aides » financières européennes. Donc, de réduire les pensions et salaires selon ce que produire et prélever en impôts sur cette production l’appareil d’état pour le redistribuer aux retraités et pour toutes les actions lié à l’appareil d’état.
Le chien se mord la queue et le gouvernement grec n’a pas l’air de vouloir arrêter de courir après la queue.
Mais pour faire comprendre cette relation de causalité imparable au gens, faut se lever de bonne heure, surtout quand des gens qui se présentent comme des spécialistes ne sont pas eux mêmes capable de comprendre ce mécanisme ou font semblant de ne pas le voir.
N’est ce pas Laurent Herblay !