@Philippe Stefan
« Un camp de réfugiés n’est pas un camp de concentration . »
C’est vous qui parlez de « camp »,
moi, je parle de structures d’accueil, ce qui est très différent, et qui
implique, par exemple, l’existence d’équipements de loisirs, de sports, d’enseignement
et de formation (les deux dans la langue du pays d’origine, naturellement9, et – pourquoi pas ? - de travail, dans
des ateliers permettant aux internés de s’occuper en gagnant un peu d’argent. Ils
seraient aussi aptes à fabriquer des tee-shirts et des Nike, que des Chinois ou
des Pakistanais.
« …on regroupe les familles et l’on étudie chaque motivation chaque cas
... »
Il n’y aurait plus de « cas »
à étudier : soit les illégaux viennent de pays à risques, et ils ont
droit à protection, soit ils ne viennent pas de pays à
risques et c’est retour à la case d’origine.
« … mettre les ONG dans le coup. »
J’avais déjà pensé que la
gestion de tels centres par des ONG permettrait de leur éviter la qualification
caricaturale et polémique de « concentration », les immigrationnistes
étant ce qu’ils sont et ce que nous savons.
P.S. – Je rappelle, à toutes
fins utiles, que ces structures auraient pour vocation de signifier aux
candidats qu’ils obtiendront la protection à laquelle ils ont droit, mais qu’en
aucun cas ils ne peuvent espérer un avenir dans nos pays.