Ce que nous vivons aujourd’hui a été préparer de longue dates, certes Pierre Hillard n’a pas tord quand il décèle les moments clés des drames qui se joue la.
En même temps, ses explication sont incomplètes et pour une raison qui est simple à comprendre tous ne vient pas seulement de ses organisations et sociétés occultes, l’autre partie vient de nous.
C’est problème commue depuis longtemps Rabelais l’illustre bien avec ses moutons de Panurge :
( Alors que Pantagruel et ses compagnons, dont Panurge, parcourent la
mer afin de consulter l’oracle de la Dive Bouteille, ils abordent un
navire de commerce et font connaissance avec les passagers. Une
altercation éclate entre le marchand Dindenault et Panurge ; le premier
s’étant moqué de l’accoutrement ridicule du second. Après le retour au
calme, Panurge décide de lui acheter un mouton. La transaction
s’éternise car le troupeau appartient à la race de Chrysomallos,
le bélier à la toison d’or, ce qui explique leur coût élevé. Panurge,
après avoir en vain essayé d’abréger les boniments à propos des
propriétés merveilleuses de ces bêtes, en acquiert finalement un et le
jette à l’eau. Le reste du troupeau va rejoindre son congénère,
emportant Dindenault et les autres bergers qui tentent de les retenir en
s’accrochant à eux.
« Panurge sans aultre chose dire jette en pleine mer son mouton
criant et bellant. Tous les aultres moutons crians et bellant en
pareille intonation commencerent soy jecter et saulter en mer aprés à la
file. La foulle estoit à qui premier y saulteroit aprés leur
compaignon. »
— Extrait du Quart Livre, chapitre VIII )