La vraie question serait de savoir à qui pourrait profiter cette histoire de réchauffement climatique ? ...
COP21, une conférence basée sur une théorie scientifiquement
controversée sur le réchauffement climatique, laquelle se fonde sur les
seules interprétations du GIEC qui n’étudie pas le climat comme
on pourrait le penser (il n’est pas mandaté pour cela) mais se sert
seulement de données fournies par des revues scientifiques
voir ici paragraphe : IPCC History and Mission
« It
does not carry out new research nor does it monitor climate-related
data. It bases its assessment mainly on published and peer reviewed
scientific technical literature.” »
Le GIEC n’a donc pas pour mandat d’entreprendre des travaux
de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou
d’autres paramètres pertinents.
GIEC, un vice de construction congénital !
statuts officiels du GIEC.
Il en définit la mission (voir paragraphe : IPCC History and Mission
« for the purpose of assessing “the scientific, technical and socioeconomic information relevant for the understanding of the risk of human-induced climate change. »
"Le
rôle du GIEC (IPCC) est d’évaluer, sur des bases scientifiques,
techniques et socio-économiques, les informations relatives à la
compréhension des bases scientifiques du risque résultant du changement
climatique anthropique, de ses impacts potentiels et des options (NDLR : utiles) pour l’adaptation ou l’atténuation" .
Dès lors, il ne faut s’étonner que le GIEC
s’efforce, à tout prix, quelles que soient les difficultés, de
démontrer l’importance de l’action humaine sur le climat en négligeant
toutes les causes naturelles. Mais ce faisant, il ne fait rien d’autre que
de remplir la mission qui lui a été attribuée.