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Commentaire de soi même

sur Chronique de ma mort prochaine et réflexion sur le système assassin


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soi même 18 septembre 2015 19:59

Je sais , je charrie beaucoup les autres sans doute pour moi c’est une survie ?

Quand à vous Bernard vous avez remplie ce que votre destin vous à donnez de vivre ( Je n’ai pas pu ou surtout voulu faire de concession ni de compromis à l’égard d’un système qui encadre les carrières. C’est toute la question de la liberté qui est en jeu. Accepter de solder ses capacités de visionnaire en se pliant aux nécessités des fonctionnaires du savoir ou bien aller jusqu’au bout de ses connaissances en les faisant germer moyennant des risques calculés. ) et ce n’est pas avec se constat amère que vous allez vous apprécier, n’oublier jamais qu’il existe des réponses à votre désarroi ;

Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.

 Jean 14:6.

 Et le meilleurs viatique est sans contexte Angelus Silesius 1624-1677 :

  1. Homme, si tu es encore quelque chose, si tu sais quelque chose, si tu aimes et détestes quelque chose,
    Crois-moi, tu n’en as pas fini avec ton fardeau.

    (Le Voyageur chérubinique, trad. Maël Renouard , p.59, Rivages poche n°464
     
  2. Je ne crois en nulle mort ; je meurs à toute heure
    Et chaque fois je n’ai trouvé qu’une vie meilleure.

    (Le Voyageur chérubinique, trad. Maël Renouard , p.61, Rivages poche n°464)
     
  3. L’homme a trois ennemis : lui-même, Belzébuth et le monde ;
    Mais entre eux c’est le premier le plus long à abattre.

    (Le Voyageur chérubinique, trad. Maël Renouard , p.262, Rivages poche n°464)
     
  4. Meurs avant de mourir, pour ne pas mourir
    Quand tu devras mourir ; sinon tu périras.

    (Le Voyageur chérubinique, trad. Maël Renouard , p.293, Rivages poche n°464)
     
  5. Mon meileur ami - mon corps - est mon pire ennemi :
    Il me lie, m’entrave même s’il me veut du bien.
    Je le hais et je l’aime, et au jour de nos adieux
    Je m’arracherai à lui avec joie et avec peine.

    (Le Voyageur chérubinique, trad. Maël Renouard , p.294, Rivages poche n°464)
     

Bon j’arrête là vous avez assez pour médité qu’au fonts vous, n’est pas si mal lotie .... ?


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