@clément dousset
Que ce soit les auteurs que vous citez ou vous même, vous êtes tous dans l’étude des conséquences de la conscience et non dans l’étude de la conscience elle même.
En d’autres termes, la conscience engendre un processus physique, mais n’est pas réductible à ce processus, ceci parce que la finalité même de tout processus physique consiste en l’acquis systémique de la conscience, autrement dit, en son déplacement vers l’inconscient. Sans se déplacement, il ne pourrait tout simplement pas y avoir d’évolution, que ce soit pour l’Univers ou pour le cerveau humain.
Bref, vous n’étudiez pas la conscience, mais l’in-conscient !
Ou alors, il faut renoncer à considérer que la conscience touche au sens, mais plutôt à la matière et là, quel que soit votre développement vous échouerez systématiquement à définir la conscience.
Le principe de relation de causalité dit que la conscience est la cause originelle de l’action, la conséquence, donc toute actions secondaires, évoluant entropiquement ou néguentropiquement (selon le point de vue) vers l’in-conscience, c’est à dire, sortant de l’itération pour entrer dans la récurrence, au sens du principe de relation de causalité.
C’est tautologique, mais pas facile à percevoir !