bonjour siaton

sujet récurent traité avec humour. La sécurité est un souci commun et une tâche régalienne des représentants du peuple, ce qui est différent de la sécurité conçus comme fonction répressive d’un pouvoir totalitaire. Or aujourd’hui dans un pays fortement sécurisé où les manquements mineurs croissent et les délits des « cols blancs » dépassent allégrement les 2 millions, une aggravation sémantique est venu qualifier certains actes délictueux par une aggravation des sanctions non liées aux faits, mais à l’émotion suscité. la sécurité est devenu depuis les années 90 un sujet politicien par son instrumentalisation, faisant glisser la justice de l’appréciation factuelle à une appréciation de dangerosité suggestive variant suivant l’intensité de son exposition médiatique et thématique.C’est ainsi que la notion de crime est venu remplir des champs comme celui de l’écologie,celui du droit d’expression, celui de la circulation routière, et il n’est pas un drame qui a un nomment ne soit reproché aux gouvernants d’avoir faillit, y compris en matière de drame climatique comme cela c’est entendu dans les récentes inondations de la région niçoise. Le citoyen interviewer n’avait rien à dire si ce n’est en 5 secondes que les politiques n’avait pas fait ce qu’il fallait, l’on ne sait pas quoi, mais on le lui a fait dire. Ceci est une constante du traitement de l’information qui emporte que les membres en charges et les responsables politiques aient à se situer sur chaque drame et que cela devienne un enjeu politicien dans une surenchère constante qui fait glisser le nécessaire besoin de sécurité vers une idéologie « sécuritariste » où règne la plus grande confusion et donc un manque de discernement qui emporte les citoyens vers un régime TOTALITAIRE.
http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-securitarisme-destructeur-7613200.html
cordialement.