bonjour lesage
long exposé qui on du en rebuter plus d’un
je vais m’en tenir a un seul point de vue celui de la monétisation de la dette. en l’état de notre organisation il n’y a pas de solution que d’aller à l’effondrement par la guerre c’est ce qui est en route il n’y a que comme cela que les dette se solderont. c’est le schéma traditionnel du laissé faire capitaliste. Disons que nous avons prolongé le cycle de paix en Europe pas dans le monde, disons qu’en suivant les algorithmes des traders nous allons accentuer le cumul de fond disponible qui engendre un crédit à O% tant par ce jeu se cumule des masse financières disponible issus du remboursement des prêts qui n’ont plus d’intérêt désinvestissement en dehors de leur propre cycle d’emprunt. il faut donc cesser d’emprunter aux banques pour développer une activité source de revenu car quelle que soit celle-ci ne conduira qu’à gonfler l’emballement de l’endettent, d’où la politique d’austérité qui forcement aggravera la situation puisque les masses financières disponibles croitront sans se trouver une utilité que de cumuler.
forcer la BCE à acheter les dettes, ne peut être qu’un pis allé si les sommes libérés n’ont comme autres investissement que de se retrouver disponible à l’emprunt. ce n’est pas qu’il manque de lieu ou investir et développer de la croissance dans un monde où il y a plus de pauvres que de nantis, nous voyons donc que ce n’est pas une problématique de l’endettement mais une problématique de choix d’organisation politique qui impose donc une orientation ou une planification des masses monétaires disponibles ce qui de toute évidence ne peut fonctionner avec un capitalisme du laisser faire.
l’on peut jouer avec les production qui brassent des masses monétaires énorme comme celle que tu soulignes avec les énergies pétrolifères mais ce que l’on prend d’un côté forcément se retire d’un autre et nous sommes à une vitesse de circulation financière qui n’est plus géré que par des machines et échappent à l’homme.
http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Nous-ne-pourrons-pas-survivre-a-une-societe-qui-ne-reduit-l-existence-humaine-qu-a-une-valeur-compta-7612473.html
cordialement.