@Jean-Pierre Llabrés
merci pour ce long commentaire qui rappelle que ,on the ground, des hommes
réfléchissent en dehors de la pensée unique véhiculé par les infos.
j’ai dans mon essaie rémunéré les hommes pour apprendre invoqué la nécessité de
faire un pas vers une société sans exploitation capitaliste ne rendant à chacun
ce qui lui revient, mais cette société est à inventer car il faut remettre en
cause la comptabilisation qui structure et pérennise le capitalisme.
http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-capitalometre-8441227.html
enfin l’on peut raisonnablement penser cela extrait.
Nous
pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un
investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de
ce dont il est le propriétaire.
Mais lorsque
son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est
demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il
ne parviendrait pas à ses fins.
De fait
une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de
ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors
il doit rester seul. Dans tous les
autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire
conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans
s’approprier ceux générés par les tiers.
L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des
guides, mais le reconnaître ne le rend pas irréductible ; et si le code
civil a analysé en 1804 la « marchandisation » de la force de travail
comme du « louage de service », donc du marchandisage. Je pense que
depuis 1804, il est intervenu bien des événements culturels (développement des
sciences) qui nous permettent de concevoir notre activité de travail complexes
entre adultes culturalisés, comme une relation humaine, et non un conflit
d’intérêt.
http://ddacoudre.over-blog.com/55c7d999-e91f.html..
cordialement