@philouie
Vous êtes un rigolo !
Vous êtes plutôt doué quand votre interlocuteur est faible, mais dès que le niveau s’élève, il n’y a plus personne.
Votre réponse est la marque du vide de votre rhétorique, car elle fait semblant d’ignorer ce que j’écris avant pour s’en tenir à un discours figé, qui tourne en boucle tel un automate.
"Votre rêve totalitaire ne pourra jamais dominer que la moitié du monde
parce qu’il vous faudra, pour tenir la cohésion de celui-ci, un ennemi
nécessaire auquel vous donnerez le nom de barbare.
Le chemin que nous
devons suivre est à l’inverse. Non pas augmenter la masse et la
puissance de la violence, mais au contraire la fragmenter, préférer les
querelles de clocher aux guerres mondiales."
C’est exactement la stratégie employé par les dirigeants actuels ! Orwell l’a écrit avec 1984.
L’union fait la force et diviser pour mieux régner sont les deux couilles de la domination des peuples.
Si la langue et la culture est ce qui caractérise un peuple, alors, il n’y a pas besoin de frontière militaire, ni de droits particuliers définissant la condition humaine autre que ceux contenus dans la déclaration universelle de l’ONU. Non, vous vous servez d’un faux argument pour justifier la division entre les peuples et ainsi pouvoir conserver la capacité à jeter leur citoyens les uns contre les autres quand d’aventure ceux ci ont des idées de justice sociale et économique.
Unir la ploutocratie mondiale et maintenir les peuples divisés entre eux et si d’aventure il n’est pas possible de les maintenir divisé par l’argent, il y a l’ennemi extérieur. La Russie fait très bien l’affaire, vu que les terroristes du moyen orient sont plutôt décevant quand à leur rôle de méchant. Il font peur là bas, mais pas ici !
La nécessité de chef naît de l’état d’urgence et elle se meurt par l’état de paix. Il faut donc qu’il y ait toujours un ennemi pour justifier les chefs et la soumission des peuples. Sans plus d’ennemis, les jours de cette ploutocratie mondiale, des USA en passant par la Russie, serait condamnée à très court terme.
Alors Philouie, j’attends toujours vos arguments !