Bon texte écrit simplement et qui pose les bonnes bases à une réflexion. La question que je me pose dans un premier temps est : « Sommes-nous en guerre ? Si oui, contre qui, contre quel Etat souverain ? »
Par définition, nous ne sommes pas en guerre car nous ne combattons pas un Etat à proprement parlé et l’ennemi n’est clairement pas identifié mais seulement qualifié de « terroriste ». Certains traits nous permet d’identifier le « terroriste » mais concrètement nous sommes dans l’incapacité de le distinguer parmi un groupe ethnique. Or qu’est-ce que le terrorisme ? Le Larousse nous dit que c’est "Un ensemble d’actes de violence (attentats, prises d’otages, etc.) commis
par une organisation pour créer un climat d’insécurité, pour exercer un
chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une
communauté, d’un pays, d’un système.« Oui mais le sens premier est l’expression violente d’un groupe d’homme vis-à-vis d’une organisation dominante à moindre échelle. Tout simplement, c’est la volonté de s’opposer à l’autre en utilisant des méthode létales afin d’arriver à ses fins et sans aucun discernement. Or comment faire la guerre à quelque chose qui est le propre de l’homme ? De manière conventionnelle, il est impossible de faire la guerre contre le terrorisme. Les USA, la Russie, Israël et aujourd’hui la France en sont les preuves vivantes car ces pays, pour la plupart, ont utilisés les mêmes méthodes dites »Terroristes« afin de combattre pour leurs propres intérêts. Maintenant elles se retrouvent à combattre se qu’elles ont inventés. Donc si nous sommes en guerre contre le terrorisme, nous sommes entrain de faire une guerre éternelle perdue d’avance. Nous ne pouvons combattre que pour notre survie et cela implique une guerre non conventionnelle dont les USA et Israël sont les précurseurs et qui implique des méthodes comme l’assassinat, la torture, voir dans les cas extrêmes le nettoyage ethnique comprenant hommes, femmes et enfants. Nous combattons une idéologie ici qualifié »d’islamisme radical« mais qui changera de noms à chaque fois que l’autre montrera une certaine réticence vis-à-vis d’un modèle de valeurs dite dominante.
C’est donc un cycle de violence sans fin dont la réalité nous a été balancé violemment à la gueule et dont le politique veut nous le vendre sous forme de »guerre contre (ce que vous voulez)" et dont nous, citoyens français, sommes aussi les victimes directement ou indirectement.