L’incidence des activités anthropiques sur le climat est peut-être largement exagérée ? il faut savoir que le GIEC n’étudie pas le climat, il interprète seulement des études sur le climat, donc la possibilité que ses interprétations seraient inexactes n’est pas à exclure. Il faut tout de même savoir que des controverses très scientifiques existent aussi.
Le GIEC « a pour mission Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux
de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou
d’autres paramètres pertinents. Ses évaluations sont principalement
fondées sur les publications scientifiques et techniques ... ». Le discours du GIEC focalise sur le CO2, alors qu’il représente un pourcentage infime des gaz à effets de serre.
Le climat n’étant pas stable, les variations sont donc « naturelles ».
Moyenne des températures dans l’hémisphère nord depuis 11.000 ans
On suppose que COP 21 accouchera d’une série de mesures techniques et juridiques sur la base de prédictions du réchauffement climatique qu’il faudrait limiter à 2 ° dans ce siècle.
Les décideurs politiques ne prennent aucun risque, puisque si cette hypothèse est erronée et largement surévaluée, ils pourront toujours dire que les mesures prises ont sauvé la planète, et s’il y a augmentation des températures moyennes de 2 °, ils pourront toujours dire que sans les mesures prises cela aurait été bien pire !