bonjour bruno
tuer son prochain est un acte totalement culturel, il est la conséquence d’une sédentarisation pour se répartir la rareté. l’humain ne dispose pas plus de capacité à tuer son semblable que ce qu’il pouvait chasser du gros gibier il n’avait ni ongles ni dents susceptible de lui permettre de trouver des protéine ailleurs que dans ce qui était à a disposition de ses attributs, insectes grenouilles et tous ce qui n’était pas très rapide sinon il devait attendre que les cadavres "faisandent pour les manger. cela à changé quand il a pu créer des outils, alors dans le cadre de ces querelles il a fait montre d’à-propos en utilisant ce qui lui donnait une supériorité pour régler les différents qui les opposaient. Ceci précisé la sédentarisation à formé des paradigmes du dominant qui ne cèdent jamais que devant la force, toutes nos organisations sociétales proposent des modèles inamovibles qui comme les dominants ne cèdent que devant un rapport de force, tout en s’’en protégeant. De la sorte tous ceux qui pour quelques raison que ce soit transgressent l’ordre établi ou contestent la place du dominant sont mis à l’écart. dans notre monde encore à l’âge des cavernes nous ne savons pas accepter ou organiser la mutation inévitable de toute société comme nous le démontre l’histoire humaine que nous avons compilé, pire nous avons institutionnalisé le droit de tuer, ce sont dans encore beaucoup de pays la condamnation à mort pour le droit commun et l’armer pour le droit de la force des états ou sociétés
quand nous déclarerons la guerre comme un crime contre l’humanité nous aurons fait un pas idéaliste en avant.
cela commencerait peut être si nous n’avions pas comme symbole du divertissement qu’a nous nourrir des violences de nos relations humaines par toutes les lectures et filmographies.
ddacoudre.over-blog.com.
cordialement.