@GrandGuignol
Je lis à l’instant votre message de 20H23.
La question de l’espéranto n’a rien à voir ici. Mais absolument rien. Même dans la lettre que j’ai remise à FA je n’en parlais pas.
En revanche, la défense de la langue française, oui. Comme je l’ai répondu à Morpheus.
J’espère que vous percevez la différence ?
Admettons, que mon ego soit meurtri — si cela peut vous fait plaisir — il n’en reste pas moins qu’il s’agit de trouver des alliances afin d’espérer réunir un maximum de Français pour qu’ils comprennent que la sortie de la France de l’UE est une question vitale.
C’est bien cela le sujet, n’est-ce pas ? Quelles stratégies pour l’UPR ?
Franchement, vous pensez vraiment que l’UPR arrivera à ses fins toute seule ?
Je prenais donc position en fonction de votre commentaire. C’est vrai qu’après coup vous avez fait quelque peu marche arrière. C’est donc difficile de répondre alors que d’autres messages arrivent de tous côtés.
Par ailleurs, apprenez que je consulte quasiment chaque soir (ou presque) depuis trois ans le site de l’UPR.
« Et pourquoi ce serait à l’UPR de se rallier au PRCF et pas à ceux ci de se rallier à l’UPR, personne ne les en empêchent, ils peuvent adhérer. »
En effet pourquoi ? Il me semble que quand on cherche à rassembler, ce n’est pas à l’autre à faire deux pas, mais à chacun d’en faire un vers l’autre. Tout simplement.
Mais pour cela, il faut vouloir la chercher, l’alliance.
Mais peut-être que nous n’avons pas la même conception de ce qu’est un rassemblement.
Et comme vous l’a dit Taktak, De Gaulle n’avait pas eu les exigences que vous sembliez attribuez à l’UPR. Mais, je le répète, vous vous êtes ensuite ravisé.
Du reste, l’auteur a dans son commentaire daté de ce soir à 18H57 indiqué que tant l’UPR que le PRCF y gagneraient à s’entendre pour une alliance.
Un dernier mot : la réalité dictatoriale dont vous parlez avec quelque ironie, elle passe justement par l’imposition de la langue.
Celui qui impose sa langue joue la musique sur laquelle dansent les marionnettes. Rassurez-vous, ce n’est pas de moi.
Cordialement.
Thierry Saladin