J’ai surtout lu les intervention d’Eric Gueguen.
Je retiendrai le dernier extrait rapporté
Pour moi, je le dis et l’explique abondamment dans mon livre, la « justice sociale » est l’autre nom du désir d’égalité. Hayek - que je n’apprécie pas particulièrement - l’a d’ailleurs bien senti. La justice est un mot qui se suffit à soi seul. Lui accoler le mot « sociale » est à mes yeux un sophisme.
Tout à fait exact !
C’est un sophisme par pléonasme où le but est de répéter la même chose pour interdire son questionnement.
Ainsi, écrire « propriété privé » est un sophisme par pléonasme. La propriété étant par définition privé.
Cependant, Eric Gueguen comment beaucoup de fautes de raisonnements qui le conduisent à tirer de très mauvaises conclusions !
Surtout, il raisonne trop par réaction et non par relation de causalité qui ne repose pas sur la réaction, mais uniquement sur l’analyse complexe entre causes et conséquences.
Par exemple, la notion d’égalité en société est relationnelle et non un absolu. C’est à dire, que tout un chacun n’aspire pas aux mêmes niveau de consommations et l’égalité ne consiste pas à donner à tous la même chose, mais selon ses aspirations propres.
Sauf qu’en société, dans un espace délimité et pour la Terre limité, l’égalité consiste à lier la volonté de consommation à sa propre capacité à produire cette même consommation, à l’intérieur de limites supérieures s’appliquant à tous sans exception.
Qui permet d’écrire l’aphorisme suivant, déduit du principe de relation de causalité
l’intérêt général est la somme des utilités particulières à l’accomplissement de la volonté générale, définit par la somme des besoins de chacun et de ses aspirations secondaires, dans les limites jugées supérieures que sont le respect des autres êtres vivants et des droits/devoirs intergénérationnel.
aphorisme un petit peu complexe, mais compréhensible par Eric Gueguen au moins !
Mais pour résumer la situation passé et actuelle et montrer la solution à venir, on peut le résumer en deux phrases, tiré de la chanson « la vie ne m’apprend rien » de Balavoine avec cette relation de causalité « les lois ne font plus les hommes, mais quelques hommes font la loi ».
Pour que la loi fasse l’humain, il faut que l’humain suive la loi, donc s’y soumette et la serve autant qu’elle le sert. Mais si une personne ou quelques personnes font la loi, alors, ceux qui suivent la loi, ne font que servir la volonté personnelle de celui ou ceux qui font la loi. Autrement dit, ils ne servent pas la loi, mais l’arbitraire de ceux qui font la loi pour leur propre compte.
Peu importe alors que ce soit une ploutocratie, ou une ochlocratie ou même une démocratie, ce n’est pas aux hommes à faire la loi, mais à la loi à faire les humains.
Vous me direz, oui mais, comment la loi peut elle exister en dehors de l’humain ?
Par le principe de relation de causalité ! Ce principe donne ce qu’est la loi qui doit être appliqué, car c’est lui qui anime toute chose dans l’Univers, quel que soit le domaine observé. Religieux, philosophique, scientifique, économique, politique, etc....
La puissance du principe de relation de causalité est lui, absolu, mais il donne à la vie, de par ses propres jeux, le libre arbitre, tout en exigeant son plus total respect.... Etonnant non !
04/03 19:01 - Alban Dousset
@Agor&Acri Merci beaucoup pour ces encouragements, je suis heureux que tu apprécies ce (...)
04/03 18:38 - Agor&Acri
@Alban Dousset au cours des derniers mois, j’ai déjà visionné (et apprécié :-) ) (...)
03/03 18:09 - Alban Dousset
@Agor&Acri J’ai lu et je suis d’accord. Si tu as le temps et si tu ne (...)
03/03 17:10 - Agor&Acri
03/03 17:08 - Agor&Acri
@maQiavel « Article très intéressant, je ferai un commentaire dès que possible ! » idem pour (...)
10/01 13:36 - beo111
@maQiavel (contrôle du pouvoir armé, atelier constituant) L’armement des citoyens est (...)
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