@Éric Guéguen
Je vous laisse là le mot de la fin, mon message ayant été mangé par l’ordi, je ne vais pas le retaper
Je vais juste commenter votre « dernière pour la route » où vous auriez là aussi mieux fait de garder votre temps.
Vous reprenez la phrase suivante « le fœtus n’a pas de droits, tant qu’il n’est pas considéré comme un être vivant. »
Ce qui rend absurde votre commentaire, car cette phrase ne dit pas que le foetus est vivant ou non, elle dit qu’un foetus est vivant à la condition qu’il soit reconnu comme tel. Que le débat porte sur savoir quand il est vivant et quand il ne l’est pas encore. Quand il est objet et quand il est sujet (même chose pour les personnes en état végétatifs ou les grabataires).
Et ce n’est pas parce que cela contrevient aux droits de la mère, parce que décider d’avoir un enfant relève de la souveraineté en ces temps de facilité contraceptives (sauf en cas de viol évidemment), mais parce qu’effectivement, dès lors où l’enfant est reconnu en tant que sujet vivant, alors, ce sont les droits de l’enfant qui sont considérés et qui font devoir à la mère, des parents, d’en prendre soin et si ceux ci font défaut,c’est le corps social qui se fait un devoir de suppléer au refus des parents d’assumer leur devoirs, ces derniers étant la conséquence du droit pris d’avoir un enfant, par leur souveraineté à décider d’avoir ou non un enfant.
Ici, il faut entrer à minima dans la complexité du principe qui lie les relations entres elles et utilise le principe de polarisation pour passer d’une relation de causalité à une autre. Bon, rien qu’expliquer cela est assez ardu et comme on a décidé d’un commun accord de ne plus perdre son temps l’un avec l’autre, je n’irai pas plus loin.
Pour finir, sachez qu’il n’y a de génial que le principe de relation de causalité et qu’il vous suffit d’en avoir une maitrise égale pour être aussi génial que moi, voir plus. La tentation est très grande de se présenter comme le dépositaire et maître, mais le principe me l’interdit au regard de mes aspirations de vie. Bref, on ne peut pas tout à la fois avoir le beurre et l’argent du beurre, sans voler soit le beurre, soit l’argent du beurre !
Bonne continuation...